Usine à utérus, industrie de l’élevage de bébés»: une société suisse vante le «confort» de ses bunkers pour mères porteuses à Kiev

Le 26 avril 2024

Le «business model» est simple et cynique

Les mères porteuses «doivent provenir d’endroits plus pauvres que nos clients», explique sans gêne Ihor Pechonoha, directeur médical de la plus grande «usine à bébés» de Kiev, gérée par la société suisse de location de ventres BioTexCom (https://biotexcom.com/).

➡➡ L’Ukraine et Soros, fournisseurs de cobayes pour Big Pharma (https://t.me/kompromatmedia/1680)

Pas étonnant, selon (https://thegrayzone.com/2023/07/28/ukraines-baby-factories-profits-war/) The Grayzone, alors que le régime de Zelensky a activement encouragé l’Occident à piller le pays déchiré par la guerre, en concluant un partenariat d’investissement (https://t.me/kompromatmedia/2827) avec le fonds BlackRock

Après que le Népal et l’Inde ont mis un stop à l’industrie de la GPA, le marché mondial s’est réorienté vers l’Ukraine, illustration d’une lutte des classes planétaire où les riches clients de l’Occident, parfois des couples homosexuels, s’achètent des bébés, là où le prix est le plus intéressant.