Moderna (et les autres) pirate-il le « logiciel de la vie » avec son vaccin contre Covid ?

Un journaliste d’investigation vétéran, Leo Hohmann, a découvert une présentation de l’émission télévisée Ted Talk 2017 du Dr. Tal Zaks, le médecin-chef de Moderna Inc., où il explique avec des mots simples comment agit la technologie de l’ARNm dans les vaccins et comment elle « pirate le logiciel de la vie ». Il n’est pas le seul à avoir fourni de telles explications, d’autres personnalités du Forum Economique de Davos s’expriment très (trop) librement sur le sujet.

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show daté de 2017 où le Dr Zaks expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui parait si claire à ceux qui – unilatéralement – ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres, choque les esprits.

Les cellules humaines associées à un système d’exploitation

Le Dr Zaks raconte qu’au cours des 30 dernières années « nous avons vécu cette révolution scientifique numérique phénoménale, et je suis ici aujourd’hui pour vous dire, que nous piratons en fait le logiciel de la vie, et que cela change la façon dont nous pensons à la prévention et au traitement des maladies […] Dans chaque cellule, il y a cette chose appelée ARN messager ou ARNm, qui transmet les informations critiques de l’ADN dans nos gènes à la protéine, qui est vraiment ce dont nous sommes tous faits. Ce sont les informations critiques qui déterminent ce que fera la cellule. Nous pensons donc à cela comme un système d’exploitation. Donc, si vous pouviez changer cela, si vous pouviez introduire une ligne de code, ou changer une ligne de code, il s’avère que cela a de profondes implications pour tout, de la grippe au cancer ».

Assimiler le fonctionnement biologique comme un système d’exploitation informatique n’est pas un artifice ni un projet de science-fiction, la bio-informatique existe depuis plusieurs décennies et elle a fait de nombreux progrès peu connus du grand public.

Depuis l’invention du séquençage de l’ADN par Frederick Sanger dans la moitié des années 70, la masse d’information sur le génome humain est stockée et partagée par la communauté scientifique au sein de puissantes bases de données gérée par le NCBI aux États-Unis, l’EBI en Europe et le DDBJ au Japon. Des bases données de séquences nucléotidiques (GenBankEMBL Database) ainsi que de séquences protéiques (UniProtTrEMBL…) existent également. La bio-informatique intervient aussi dans le séquençage des gènes humains et l’utilisation de puces à ADN (l’ADN est composé de deux brins complémentaires formant une structure en double hélice) ou biopuces. Ces créations permettent de reformer spontanément la double hélice de l’ADN face à un brin d’ADN complémentaire. On peut donc créer de l’ADN synthétique qui peut être combiner avec de l’ADN naturel et ainsi modifier les gènes humains.

La puce électronique combiné à l’ADN humain a offert un développement très important des biotechnologies ces 20 dernières années, faisant intervenir une approche pluridisciplinaire intégrant la micro-électronique, la chimie, l’analyse d’images, la bio-informatique, les mathématiques, la biologie moléculaire, les nanotechnologies…

Les vaccins anti-covid : projet transhumaniste ?

Les vaccins contre Covid à ARNm pénètrent le noyau des cellules humaines qu’ils reprogramment – comme un logiciel – pour leur donner des instructions qui n’ont rien de naturel, comme la production de protéines spike qui ne sont pas naturellement induites par notre organisme. Nous avons expliqué ce phénomène dans un précédent article en indiquant comment l’ANSM et la presse subventionnée ont démenti ces informations au grand public pour inciter à la vaccination de masse.

Mais les contradictions et le mensonge vont bon train dans une société qui ne sait plus discerner le vrai du faux et encore moins le bien du mal, ce qui laisse une belle marge de manœuvre aux apprentis sorciers avec les encouragements de l’OMS qui affiche depuis peu de nouvelles recommandations sur la modification du génome humain pour faire progresser la santé publique.

En quoi les vaccins contre Covid participent-ils à ce projet ? Pour mieux comprendre comment cela est possible, il faut s’intéresser à leur composition et se demander quelle est la place des nanotechnologies qu’ils contiennent. A ce titre, il est recommandé de lire l’excellente étude du Dr Campra qui a décelé plus de 110 nanotechnologies différentes dans les 4 vaccins commercialisés en Occident (Moderna, Janssen, Pfizer et AstraZeneca).

Mais si l’on souhaite vraiment connaitre le fond de la pensée de nos “nouveaux maîtres”, il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri (cf. minute 9.12 à 23.15 de cette vidéo) – un autre sbire du Great Reset – qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a souvent qu’un pas vite franchi. Avec l’inoculation de nanotechnologies à l’insu des citoyens, la violence de l’acte a précédé celle de la parole.