Ce sera le plus grand scandale politico sanitaire de notre ère

À présent ça va commencer à ouvrir les parapluies chez nos gouvernements car l’ Agence européenne du médicament vient de lâcher tout le monde. La solution pour eux c’est la Guerre qui engloutira le MONDE et leurs mensonges.

Lors d’une conférence de presse tenue au Parlement européen le 21 novembre 2023, le député européen Marcel de Graaff a rapporté des éléments de réponses que l’Agence européenne du médicament (EMA) lui a fournis concernant les vaccins anti-Covid. S’il va parfois vite en besogne au niveau des conclusions, excitant par là même les réseaux sociaux, il y a de quoi s’interroger.

Le 4 octobre dernier, l’eurodéputé néerlandais conservateur a contacté l’EMA pour demander une suspension de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) des vaccins anti-Covid, détaillant les sources de ses inquiétudes : efficacité des vaccins au niveau de la transmission, cibles des campagnes de vaccination, sous-estimation des risques d’effets secondaires… Le 18 octobre, l’EMA a répondu.

Un mois plus tard, une conférence de presse intitulée « Marcel de Graaff et Joachim Kuhs sur des révélations choquantes à propos des vaccins Covid » se tient au Parlement européen. Là, Marcel de Graaff jette plusieurs pavés dans la mare.

D’abord, il rapporte qu’en 2020, l’EMA a autorisé les vaccins pour « l’immunisation individuelle » avant tout, et non pour réduire les infections interpersonnelles. De fait, voici ce que l’EMA a écrit dans la lettre : « Les informations sur les vaccins COVID-19 indiquent clairement que les vaccins sont destinés à une immunisation active pour prévenir le COVID-19. En outre, les rapports d’évaluation de l’EMA sur l’autorisation des vaccins notent l’absence de données sur la transmissibilité. » Par ailleurs, l’institution recommandait de s’adresser à un médecin avant de se faire vacciner, pour savoir si c’était utile ou non.

Le député rappelle que très vite, les gouvernements européens ont choisi, eux, de recommander la vaccination « pour protéger les autres ». Selon lui, au vu de l’absence de données sur la réduction de transmission et de l’avis de l’EMA, c’est du « non-sens ». En revanche, cela ne rend pas pour autant les campagnes de vaccination « illégales » ou « non autorisées », comme on a pu le lire sur les réseaux sociaux.

Il s’arrête ensuite sur les effets secondaires liés aux vaccins. Sans nier leur existence, l’EMA explique dans sa lettre que « le signalement d’un effet secondaire suspecté ne constitue pas en soi une preuve que le vaccin a provoqué l’effet indésirable en question. Ces effets indésirables peuvent survenir pour d’autres raisons chez les personnes vaccinées, comme chez les personnes non vaccinées. » Elle ajoute toutefois : « Étant donné qu’une grande partie de la population générale a été vaccinée, nous nous attendons à ce que de nombreux cas soient signalés pour des affections survenant au moment de la vaccination ou peu après. » Le hic, selon Marcel de Graaff, c’est que les gouvernements européens n’auraient pris en compte les déclarations d’effets secondaires qu’après avoir attendu 14 jours à la suite de l’injection, « le temps que le vaccin soit efficace ». L’EMA a répondu à cela directement sur son site, dans la partie FAQ : « Non, les déclarations d’effets secondaires suspectés survenus dans les 14 jours suivant la vaccination ne sont pas exclues de la surveillance de la sécurité. » Elle explique aussi que « la grande majorité des effets secondaires connus sont légers et de courte durée », même si « dans des cas très exceptionnels, il a été confirmé que des décès avaient été causés par un vaccin. »

Finalement, l’EMA a rejeté la demande de suspension d’AMM, considérant que la balance bénéfices-risques des vaccins reste positive. Sur la page « Vaccins Covid : éléments clés » de leur site, on lit toujours que « les vaccins anti-Covid-19 fonctionnent et sont sûrs » dès la première ligne.

Marcel de Graaff considère tout de même que « les gouvernements et les partis politiques qui ont soutenu ces campagnes de vaccination devraient être tenus responsables de leurs mensonges et de leurs fraudes ». Sur Twitter (X), il a récemment partagé une étude scientifique menée par trois chercheurs italiens qui relate des effets secondaires graves liés à la protéine Spike du vaccin.