La méga-enquête mondiale de Me Reiner Fuellmich sur la crise sanitaire: premières conclusions

Les points forts résumés par Me Araujo-Recchia constituent un récapitulatif très complet des faits, chiffres, dégâts et violation des droits humains qu’on pourrait opposer, dans un débat public, à la narration officielle sur le Covid.

Depuis février 2022, le célèbre avocat allemand Reiner Fuellmich a réuni une équipe de juristes et spécialistes de différentes disciplines dont font partie l’avocate française Me Virginie Araujo-Recchia ainsi que la psychologue Ariane Bilheran, pour examiner les preuves des malversations liées au covid et à sa gestion. Ce Grand Jury de l’opinion publique entend des témoins sur différents volets de cette gestion: santé, médias, psychologie sociale, recherche, business…

Nous reproduisons ici les conclusions de Me Virginie Araujo-Recchia, déposées à l’issue des auditions.

Estimés membres du Grand Jury,
Votre Honneur,

Après avoir entendu les témoignages des experts internationaux et des victimes, je voudrais partager avec vous mes conclusions concernant spécifiquement la campagne d’injections expérimentales de masse de Covid-19 et la violation concomitante du droit à la vie, avec une brève introduction philosophique sur la discrimination et la dignité humaine.

INTRODUCTION – SUR LA DISCRIMINATION ET LA DIGNITÉ HUMAINE

« Tous les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en dignité et en droits  » (Déclaration universelle des droits de l’homme)

Ces mots confirment la supériorité des considérations humaines sur les considérations scientifiques. Seule l’acceptation de l’homme en tant qu’être humain, pour lequel la dignité et le respect sont prioritaires, en tant qu’attributs inaliénables attachés à chaque individu, est finalement reconnue.

Tout être humain a droit à un traitement décent.
La décence implique la bienveillance envers les autres, la volonté de s’adapter à la personne de l’autre, à ses besoins.

La dignité est l’essence de l’homme. Défendre la dignité ou sa propre dignité, c’est donc défendre l’humanité.
Cette protection prend la forme d’un devoir, le devoir de la communauté d’offrir une vie digne à chacun, un devoir essentiel.

La législation a tenté de définir cette vie digne : une vie indépendante qui permet l’autonomie de choix et la participation à la vie sociale et culturelle.

Rappelons maintenant la définition de la santé : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »
(extrait de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé, adoptée en 1946 à New York et entrée en vigueur en 1948).

Dans les Fondements de la métaphysique des mœurs, Emmanuel Kant fait la distinction entre ce qui a un prix et ce qui a une dignité : « Dans le règne des fins, tout a un prix ou une dignité. Ce qui a un prix peut être remplacé par autre chose, quelque chose d’équivalent ; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par conséquent n’admet aucun équivalent, c’est ce qui a une dignité »

Par conséquent, une société qui choisit quel être humain mérite d’être traité avec dignité et quel autre ne le mérite pas serait une société injuste, immorale, fondée sur la discrimination et l’exclusion.

La famille humaine ne serait plus une, la fraternité serait remplacée par une hiérarchie des dignités. Au bas de la société, les hommes survivraient, traités comme des choses.

Selon les stoïciens : je ne peux pas ressentir d’inquiétante étrangeté devant un autre homme, car c’est un homme, un homme ne doit pas être un étranger pour un homme.
Cicéron se fait l’écho des répliques de Térence : « Je suis un homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger« .

Par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes attachés à la dignité humaine.

COMMENTAIRES SUR LA MANIPULATION DE MASSE DE L’INOCULATION DE PRODUITS PHARMACEUTIQUES EXPÉRIMENTAUX

Suite à la déclaration du Dr Bilheran :

» Les virus sont intégrés dans notre ADN, nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’Université de Colombie-Britannique au Canada, affirme dans une étude de 2018 que plus de 800 millions de virus sont déposés sur chaque mètre carré de la Terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il y a plus de virus que de personnes en Europe ! « Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nous baigner […]. Nous sommes inondés de virus. » Un article publié en 2011 dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur Terre ! Environ 8 % du génome humain est d’origine virale, et les virus ont existé bien avant l’espèce humaine sur Terre, contribuant à donner naissance à la vie cellulaire. «

Quelle est cette idée folle d’atteindre le « zéro covid » ?

Comme le confirme le Dr BILHERAN « L’idéologie nie les faits, les fabrique selon son bon vouloir et ses réalités prophétiques. Les masses la suivent car l’idéologie rassure, par son caractère pseudo-explicatif et global. La fiction devient réalité« .

À cet égard, « le Covid-19 a un taux de létalité réel similaire à celui de la grippe saisonnière », selon l’éminent professeur John Ioannidis (intervention du 17 avri 2020).

Un rapport intitulé « L’épidémie de Covid-19 a eu un impact relativement faible sur la mortalité en France » a été préparé par Laurent Toubiana, Laurent Mucchielli, Pierre Chaillot et Jacques Bouaud sur la question de la surmortalité et rendu public le 29 mars 2021.

« L’épidémie de coronavirus semble s’ajouter à la liste des nombreux virus, dont la grippe saisonnière, responsables de pathologies respiratoires sévères. Elle ne diffère pas fondamentalement des épisodes les plus sévères de la grippe saisonnière. Les comparaisons avec la peste médiévale, le choléra ou la grippe espagnole, qui ont fleuri dans le débat public, sont donc totalement inappropriées ».

En novembre 2020, le célèbre Dr Hodkinson a déclaré :

« L’essentiel est qu’il y a une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux.

C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant. Le [Covid-19] n’est rien de plus qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas Ebola. Ce n’est pas le SRAS. C’est la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux ».

Dans un article daté du 22 février 2021, le Dr Frédéric BADEL, psychiatre français, met en garde contre la manipulation de masse :

« Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extraterrestres -en l’occurrence le virus mortel-, le sacrifice est présenté comme un salut. La réalité enfouie sous les messages quotidiens discordants et culpabilisants a laissé place à un délire dans lequel les liens logiques se dissolvent ».

LA VRAIE NATURE DU COVID -19 INJECTIONS EXPÉRIMENTALES

De nombreux virologues et généticiens de différents pays occidentaux, n’ayant aucun intérêt particulier à s’exprimer, nous disent que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vaccins, mais des « substances génétiques injectables ».

À ce titre, la FDA qualifie légalement ces produits de thérapie génique/thérapie innovante entrant dans la catégorie des médicaments biologiques et absolument pas dans celle des vaccins.

Par ailleurs, ces produits pharmaceutiques ont reçu une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle, étant précisé qu’ils sont en période d’essai clinique jusqu’en 2023 / 2024. Il s’agit donc de produits expérimentaux.

M. Stefan OELRICH, président de la division pharmaceutique du groupe BAYER, s’est exprimé comme suit lors du Sommet mondial de la santé qui s’est tenu à Berlin du 24 octobre 2021 (6 000 personnes – 120 pays) devant des experts internationaux issus du monde universitaire, de la politique et du secteur privé :  » les nouveaux « vaccins » à ARNm de COVID sont en fait des « thérapies cellulaires et géniques » qui auraient été rejetées par le public sans une « pandémie » et un marketing favorable.

« Nous faisons vraiment ce saut [pour stimuler l’innovation] – nous en tant qu’entreprise, Bayer – dans les thérapies cellulaires et géniques…. En fin de compte, les vaccins à ARNm sont un exemple de thérapie cellulaire et génique. J’aime toujours dire : si nous avions fait un sondage il y a deux ans auprès du public – ‘seriez-vous prêt à prendre une thérapie génique ou cellulaire et à l’injecter dans votre corps?’ – nous aurions probablement eu un taux de refus de 95% ».

Le Pr Mike Yeadon a déclaré lors de la session 4 que : « Bien qu’ils aient habilement réussi à les déguiser sous le mot « vaccin », la seule chose qu’ils ont en commun avec les vaccins traditionnels est le mot. C’est tout. Il n’y a aucune autre similitude« .

Ceci est également confirmé par le Professeur Alexandra HENRION-CAUDE, dans son rapport d’expertise du 11 novembre 2021 :

« Le terme « vaccin » ne peut être utilisé, dans le sens conventionnel du terme, en relation avec ce qui est identifié comme les « vaccins COVID-19 » de Pfizer/BioNTech, Moderna et AstraZeneca.

En effet, il ne s’agit pas de vaccins, mais d’injections de gènes expérimentaux autorisés de manière conditionnelle et temporaire dans le cadre de COVID-19.
Nous sommes dans une recherche expérimentale, un essai thérapeutique, et non dans un contexte de validation officielle d’un médicament, ici improprement nommé « vaccin » par rapport à la compréhension de l’utilisateur. »

Maintenant, je voudrais me concentrer sur l’application du Code de Nuremberg afin que vous puissiez confirmer ou non si cette campagne d’injections massives est une violation du droit à la vie, une violation du principe du respect de l’intégrité du corps humain.

Le code de Nuremberg concernant les expériences médicales

Avant la convention sur le génocide, le crime et le terme ont reçu leur première consécration juridique officielle dans l’acte d’accusation des accusés devant le Tribunal militaire international de Nuremberg.

Le jugement du tribunal des crimes de guerre de Nuremberg a défini dix normes auxquelles les médecins doivent se conformer lorsqu’ils effectuent des expériences sur des sujets humains, dans un nouveau code désormais accepté dans le monde entier.

Ce jugement a établi une nouvelle norme de comportement médical éthique pour l’ère des droits de l’homme qui a suivi la Seconde Guerre mondiale. Ce document énonce, entre autres, l’exigence du consentement volontaire et éclairé du sujet humain.

Le principe du consentement volontaire et éclairé protège le droit de l’individu à disposer de son propre corps. Le pouvoir historique de Nuremberg a été de consacrer un cadre normatif particulier pour l’expérimentation humaine, fondé sur l’idée que les sujets potentiels sont si vulnérables que leur protection, et celle de l’humanité en ces matières, ne peut être assurée que par des normes impératives liant les expérimentateurs au nom de l’ordre public et, en l’occurrence, de l’ordre public international.

Ce code reconnaît également que le risque doit être évalué par rapport au bénéfice escompté, et qu’il faut éviter toute douleur et toute souffrance inutiles.

Ce code reconnaît que les médecins doivent éviter les actions qui blessent les patients humains.

Le code de Nuremberg (1947)

Expériences médicales autorisées

La grande majorité des preuves dont nous disposons indiquent que certains types d’expériences médicales sur des êtres humains, lorsqu’elles sont maintenues dans des limites raisonnablement bien définies, sont conformes à l’éthique de la profession médicale en général. Les protagonistes de la pratique de l’expérimentation humaine justifient leur point de vue par le fait que de telles expériences donnent des résultats pour le bien de la société qui ne peuvent être obtenus par d’autres méthodes ou moyens d’étude. Tous s’accordent cependant à dire que certains principes de base doivent être respectés afin de satisfaire aux concepts moraux, éthiques et juridiques :

  1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; qu’elle doit être dans une situation telle qu’elle puisse exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de surenchère ou de toute autre forme de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée. Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, celui-ci soit informé de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels il peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience. Le devoir et la responsabilité de s’assurer de la qualité du consentement incombent à chaque personne qui initie, dirige ou participe à l’expérience. Il s’agit d’un devoir et d’une responsabilité personnels qui ne peuvent pas être délégués à une autre personne en toute impunité.
  1. L’expérience doit être de nature à donner des résultats fructueux pour le bien de la société, impossibles à réaliser par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et non aléatoires et inutiles par nature.
  2. L’expérience doit être conçue et fondée sur les résultats de l’expérimentation animale et sur la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou de l’autre problème étudié, de telle sorte que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience.
  3. L’expérience doit être conduite de manière à éviter toute souffrance et toute blessure physique et mentale inutile.
  4. Aucune expérience ne devrait être menée s’il existe une raison a priori de croire que la mort ou une blessure invalidante se produira, sauf peut-être dans les expériences où les médecins expérimentateurs servent également de sujets.
  5. Le degré de risque à prendre ne devrait jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience.
  6. Des préparatifs appropriés doivent être faits et des installations adéquates doivent être fournies pour protéger le sujet expérimental contre toute possibilité, même lointaine, de blessure, d’invalidité ou de décès.
  7. L’expérience ne doit être menée que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence et de soin doit être exigé, à toutes les étapes de l’expérience, de ceux qui la conduisent ou s’y engagent.
  8. Au cours de l’expérience, le sujet humain doit avoir la liberté de mettre fin à l’expérience s’il a atteint un état physique ou mental où la poursuite de l’expérience lui semble impossible.
  9. Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent qui sont exigés de lui, que la poursuite de l’expérience risque d’entraîner une blessure, une incapacité ou la mort du sujet expérimental.

Les témoignages des experts internationaux et des victimes ont démontré que les dix normes du Code de Nuremberg n’ont pas du tout été respectées lors de la mise en œuvre de la vaccination de masse Covid-19.

Parmi les critères déterminés pour définir le caractère licite ou illicite des expériences :

En ce qui concerne l’expérimentation :

« Dans la construction jurisprudentielle de Nuremberg, le sujet de l’expérience a un rôle dont le répertoire d’actions est le seul exercice de deux facultés : la faculté d’autoriser ou de ne pas autoriser l’acte qu’on se propose de réaliser sur lui (et encore, il n’a pas la faculté de consentir à la légère : il est censé être obligé de prendre une « décision éclairée ») ; la faculté de se retirer, d’arrêter l’expérience sur lui-même, à tout moment, sans condition et sans sanction.

La condition de qualité du sujet est, logiquement, qu’il ait « la capacité légale de consentir » – ce qui exclut, selon les critères de Nuremberg, l’expérimentation sur les enfants et sur toutes les personnes juridiquement incapables.

« Le consentement du sujet, pour Nuremberg, est le consentement d’un volontaire libre de se récuser à tout moment, et non d’un contractant qui s’oblige. Le consentement n’est ici nullement mobilisé dans le cadre d’un échange créatif de volontés d’obligations, mais comme une condition sine qua non de l’autorisation donnée à l’expérimentateur de porter atteinte à l’intégrité physique d’autrui pour cause d’expérimentation, telle que cette autorisation est accordée par les « lois de l’humanité et les exigences de la conscience publique », autant que par les « principes généraux du droit pénal tels qu’ils découlent des lois pénales de toutes les nations civilisées ».

Très important à retenir : le consentement, avec sa révocabilité, est le critère essentiel pour distinguer, d’un point de vue pénal, la victime du sujet.

Nous avons demandé au Professeur HENRION CAUDE si les personnes injectées étaient en mesure de donner un consentement libre et éclairé pour prendre une décision éclairée, ce à quoi le Professeur a répondu que ce n’est pas possible.

A propos de l’expérimentateur:

« Les juges de Nuremberg prennent soin de fonder la licéité des expériences non pas tant sur des définitions dogmatiques que sur des critères pragmatiques de mise en œuvre : tout a-t-il été fait par l’expérimentateur pour éviter les conséquences dommageables réelles ou potentielles pour les sujets de l’expérience ? ».

« L’expérience doit être conduite de manière à éviter toute souffrance et tout dommage physique et mental inutiles » ; plus précisément, « des dispositions doivent être prises et des moyens fournis pour protéger le sujet expérimental contre le moindre risque de blessure, d’invalidité ou de décès ». Si un certain niveau de risque est autorisé, il doit être proportionné : « Le niveau de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui de l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience ».

« Les expérimentateurs doivent être des personnes  » scientifiquement qualifiées  » ; leur compétence professionnelle doit être « du plus haut niveau », et pas seulement ordinaire. L’article 10, postule un scientifique capable d’exercer « la bonne foi et le jugement prudent requis de lui ». Honnêteté, bonne foi, prudence… (…)

Ce n’est vraiment pas ce que nous avons vu pendant la campagne de masse des injections de Covid-19.

En ce qui concerne les expériences elles-mêmes :

« L’expérience doit être de nature à produire des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et n’ayant pas un caractère aléatoire et superflu » (article 2 du code de Nuremberg).

« L’économie du risque et de la récompense interdit de faire courir un risque quelconque à des sujets humains s’il existe des possibilités de faire autrement. »

Puisque le virus SarsCoV2 est équivalent à la grippe et qu’il existe plus d’une quinzaine de traitements disponibles (en prévention ou en curatif) avec un haut niveau de preuve suivant la hiérarchie classique des preuves scientifiques : avec l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, les stéroïdes et antihistaminiques, la fluvoxamine, la bromexine, le duastéride, le proxalutamide, la colchicine, le nitazoxanide, la vitamine D, le budésonide, la vitamine C, le zinc, l’artemisia annua etc.

Il n’était pas nécessaire de produire en urgence et de forcer des injections expérimentales avec de nouvelles biotechnologies.

Le Dr Shankara CHETTY lors de la session 4, nous a rappelé que le premier travail d’un médecin est de poser un diagnostic et d’analyser la symptomatologie de son patient (et non de demander le résultat d’un test inefficace). Il a traité ses patients avec un protocole de sa propre hydroxychloroquine, de stéroïdes et d’antihistaminiques, étant donné qu’il soupçonnait la protéine Spike de provoquer une allergie.
Et ça a marché.

Il a même déclaré que les injections expérimentales prolongeront l’exposition à l’agent pathogène qui est la protéine Spike contenue en grande quantité dans ces produits pharmaceutiques.

Le Dr Bryan ARDIS a demandé pourquoi ne pas utiliser l’ivermectine au lieu du remdesevir qui cause des dommages et la mort, mais qui est toujours largement promu par le Dr FAUCI, et qui est aussi donné aux enfants maintenant aux Etats-Unis. Le Dr ARDIS a également parlé du midazolam (ou rivotril en France) qui a causé de nombreux décès chez les personnes âgées, comme en a témoigné John O’Looney, un directeur de pompes funèbres au Royaume-Uni.

Nous avons demandé au professeur BHAKDI si l’OMS, les agences de santé publique, les producteurs des produits pharmaceutiques expérimentaux concernés, leurs sous-traitants et leurs investisseurs avaient respecté les dix normes du code de Nuremberg, ce à quoi le pro-fesseur BHAKDI a répondu par un non catégorique.

Quelques observations supplémentaires dans les détails :

Concernant les injections de thérapies géniques, le principe de précaution n’a pas été appliqué

1- Les études randomisées qui ont conduit aux autorisations conditionnelles de mise sur le marché ont toutes été menées par les fabricants eux-mêmes. Pas d’études indépendantes pour les essais cliniques randomisés (norme de l’Evidence Based Medicine).

2- Les autres études « en vie réelle » sont presque toutes financées directement ou indirectement par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes.

3- Il n’y a pas eu d’études de génotoxicité, de cancérogénicité et de tératogénicité, sous prétexte que cela n’est pas fait pour les « vaccins ». Or, ces produits sont des thérapies innovantes utilisant des acides nucléiques, jamais utilisées auparavant sur des populations saines.

4- Il n’existe actuellement aucune donnée ou des données très limitées – en particulier pour le produit Pfizer – pour soutenir des études qui ne donneront pas de résultats avant décembre 2023 sur les points suivants :

  • Anaphylaxie,
  • Événements de sécurité d’intérêt liés à l’AESI, y compris l’augmentation des maladies associées aux vaccins,
  • Utilisation pendant la grossesse,
  • Utilisation chez les patients immunodéprimés,
  • Utilisation chez les patients fragiles présentant des comorbidités (par exemple, maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardiovasculaires),
  • Utilisation chez les patients souffrant de troubles auto-immuns ou inflammatoires,
  • Données de sécurité à long terme.

À ce jour, il n’y a pas eu de vérification officielle de la composition exacte de ces produits pharmaceutiques expérimentaux, malgré de fortes suspicions d’excipients non déclarés ou interdits (oxyde de graphène, ALC 315, etc.).

Le Dr GATTI a déclaré avoir observé des nanoparticules, des nano-entités non biocompatibles et certainement responsables d’effets secondaires dans les substances expérimentales Covid-19

A noter que les documents classifiés de la FDA concernant les injections expérimentales présentent le codage (b) (4) correspondant à la « Divulgation d’informations qui entraveraient l’application d’une technologie avancée dans un système d’armement américain ».

DES MILLIERS DE DECES ET EFFETS SECONDAIRES

DES MILLIERS DE DÉCÈS ET D’EFFETS SECONDAIRES GRAVES SONT RAPPORTÉS A L’ISSUE DE LA CAMPAGNE EN MASSE D’INJECTION COVID

La base de données mondiale de vigilance des médicaments de l’OMS (vigiaccess.org) montre qu’en un an, le nombre de notifications d’événements indésirables pour les injections pharmaceutiques de Covid-19 est 10,8 fois plus élevé qu’en 53 ans pour tous les vaccins contre la grippe.

  • En 53 ans de vaccination contre la grippe : 266 955 (deux cent soixante-sept mille) enregistrements signalés.
  • Depuis le début de la campagne de vaccination « COVID19 », le Professeur Henrion-Caude a déclaré lors de la session 4, que la base de données vigiaccess contient plus de 3 millions d’événements indésirables rapportés en février 2022.

En outre, un rapport confidentiel de Pfizer a été obtenu et publié à la suite d’une procédure de liberté d’information (FOI), qui fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de « vaccination » en décembre 2020 jusqu’à la fin de février 2021, une période très courte de moins de trois mois.

Le rapport « confidentiel » de Pfizer contient des preuves détaillées de l’impact des injections expérimentales sur la mortalité et la morbidité : en février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès probablement causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’effets indésirables signalés, dont 23 cas d’avortement spontané sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de problèmes cardiaques.

De nombreux experts internationaux nous avertissent depuis des mois que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment le Professeur Vanden Bossche, qui a eu d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, les Professeurs Mike Yeadon ex vice-président de Pfizer, Sucharit Bhakdi, Robert Malone, Peter Mc Cullough. Tous nous mettent en garde en nous conseillant d’arrêter immédiatement cette campagne dite de « vaccination ».

En effet, il est exposé que ces produits pharmaceutiques expérimentaux provoquent un phénomène de renforcement dépendant des anticorps (ADE) contre les variants. La facilitation de l’infection par ces médicaments expérimentaux peut conduire les personnes à développer des formes plus sévères de la maladie que si elles n’étaient pas vaccinées. Avec les doses de rappel, le phénomène est accentué et peut rendre les personnes plus fragiles.

En effet, si d’une part, nous assistons à un nombre impressionnant d’effets dommageables immédiats, d’autre part, nous n’avons aucun recul sur les effets à long terme, notamment ceux dont plusieurs virologues de renommée mondiale craignent l’apparition.

Alors que l’Agence fédérale américaine des médicaments (FDA) a pu mettre fin à un essai clinique à la suite d’un seul décès, le Dr Mc Cullough suggère que 25 à 50 décès au cours d’une campagne de vaccination sont largement suffisants pour mettre fin à un essai clinique, selon les règles éthiques communément admises. Nous avons franchi ces limites éthiques avant même que ces produits expérimentaux ne soient mis sur le marché.

Cela n’est pas acceptable.

CES PRODUITS SONT INEFFICACES

  • Dans une étude datée du 30 septembre 2021, parue dans l’Europaen Journal of Epidemiology et intitulée « COVID-19 Increases Not Related to Vaccination Levels in 68 Countries and 2947 Counties in the United States », les auteurs constatent que les populations les plus vaccinées présentent également le plus de cas de Covid-19 et vice-versa.
  • Une méta-analyse (niveau de preuve scientifique le plus élevé) publiée le 14 juillet 2021 par ELSEVIER Connect, a démontré que l’immunité humaine naturelle contre Sars-Cov2 fonctionne contre tous les variants.
  • Une autre étude préimprimée de l’Université de Tel Aviv, publiée le 24 août 2021 sur medRxiv, pas encore examinée par des pairs, intitulée Comparaison de l’immunité naturelle du SRAS-CoV-2 à l’immunité induite par le vaccin : réinfections versus infections percées, indique que l’immunité naturelle serait environ 13 fois plus forte que l’immunité obtenue après avoir reçu deux doses de l’injection Pfizer-BioNTech.
  • Enfin, l’immunologiste J. Bart Classen a publié le 25 août 2021 dans Trends In Internal Medicine le résultat de son analyse des essais cliniques randomisés des vaccins génétiques Pfizer, Moderna et Janssen (Classen B. « US COVID-19 Vaccines Proven to Cause More Harm than Good Based on Pivotal Clinical Trial Data Analyzed Using the Proper Scientific Endpoint, « All Cause Severe Morbidity ». Trends Int Med. 2021 ; 1(1) : 1-6.)

Comme d’autres scientifiques l’ont exprimé, il conclut qu’après avoir réanalysé les données de ces essais cliniques en prenant en compte les morbidités toutes causes confondues dans les groupes d’essais vaccinaux par rapport aux groupes placebo, alors aucun des vaccins n’apporte de bénéfice pour la santé et « tous les essais pivots montrent une augmentation statistiquement significative de la « morbidité grave toutes causes confondues » dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo ».

[…] « Sur la base de ces données, il est presque certain que la vaccination de masse avec le COVID-19 est nuisible à la santé de la population générale. Les principes scientifiques dictent que la vaccination de masse avec les vaccins COVID-19 doit être arrêtée immédiatement car nous sommes confrontés à une catastrophe de santé publique induite par les vaccins ».

LES CONSEQUENCES SUR LA FERTILITE

Par ailleurs, toujours à la lecture du rapport du Professeur Alexandra Henrion-Caude et après avoir pris connaissance d’une intervention vidéo, nous constatons qu’il existe des raisons très sérieuses de s’inquiéter des conséquences des substances génétiques expérimentales sur la fertilité des personnes en âge de procréer ainsi que pour les générations futures.

Les fiches techniques des quatre produits pharmaceutiques expérimentaux indiquent qu’aucune étude préalable n’a été menée pour déterminer leurs effets nocifs potentiels sur les femmes enceintes et le fœtus.

ABUS DE FAIBLESSE ET INCITATION DES FEMMES ENCEINTES À PARTICIPER À UN ESSAI CLINIQUE :

Les gynécologues et autres spécialistes du monde entier constatent un nombre très élevé de fausses couches et de perturbations du cycle menstruel chez les femmes qui ont reçu les inoculations expérimentales de la substance génétique contre le SarsCoV2.

Voici ce que dit le Dr James A THORP, MD, obstétricien-gynécologue et membre certifié du Florida Board of Maternal and Fetal Medicine, dans une lettre datée du 12 janvier 2022, à laquelle il a joint les références de 1 019 publications scientifiques évaluées par les pairs, alertant l’ABOG (The American Board of Obstetrics and Gynecology) :

« Les menaces que vous avez fait circuler auprès de tous vos spécialistes et sous-spécialistes ont eu pour conséquence de pousser les injections de thérapie génique expérimentale chez toutes les femmes en âge de procréer et les femmes enceintes, avec des conséquences extrêmement graves.

De nombreuses sources indépendantes dans le monde entier ont observé une augmentation significative des fausses couches, des décès fœtaux, des malformations fœtales, des inflammations placentaires sévères, des RCIU sévères, des décès néonataux, des décès infantiles, des maladies auto-immunes chroniques permanentes du nouveau-né/enfant, des syndromes d’immunodéficience permanents, des maladies chroniques permanentes du système nerveux central et des déficiences cognitives chroniques, des handicaps, des troubles épileptiques et l’apparition de cancers néonataux/infantiles et d’infections opportunistes, ainsi que de nombreuses autres conséquences désastreuses.

Veuillez comprendre et reconnaître qu’il ne m’incombe pas de prouver cela à l’ABOG ou à qui que ce soit d’autre ; il incombait plutôt à ceux qui recommandaient cette thérapie génique expérimentale extrêmement dangereuse de présenter des données de sécurité avant de la proposer à toutes les femmes enceintes.

Les études animales démontrent clairement que les nanoparticules lipidiques (LNP) avec leur charge en ARNm traversent toutes les barrières créées par Dieu, y compris la barrière hémato-encéphalique, la barrière placentaire et la barrière hémato-encéphalique du fœtus. On sait également qu’il existe une très forte concentration de LNP dans les ovaires de la mère, du fœtus et du nouveau-né. Comme vous le savez, un fœtus de sexe féminin naît avec tous ses gamètes (environ 1 million d’œufs) dans les ovaires et chacun est exposé à ces LNP potentiellement toxiques. Il est maintenant largement connu et compris que le « vaccin », qui est en fait une thérapie génique expérimentale, agit en induisant une inflammation. L’inflammation chez l’embryon et le fœtus en développement est la marque de dommages permanents, de malformations, de décès, d’insuffisance placentaire et de maladies chroniques potentiellement permanentes chez la progéniture, y compris une grave perturbation immunologique et une perturbation des récepteurs TOL7 et TOL8 sur les membranes cellulaires.
La perturbation des récepteurs TOL7 et TOL8 est responsable de la surveillance immunitaire et de la suppression des cancers et des infections opportunistes dans l’organisme, notamment l’herpès, le zona, le CMV, le HPV, la tuberculose, la toxoplasmose et bien d’autres.

Le Dr Ryan Cole, pathologiste de renom, a constaté une augmentation frappante de cancers extrêmement rares chez les nouveau-nés et les nourrissons ».

Désormais, les mesures planifiées visant à empêcher les naissances sont considérées comme un acte permettant la qualification de génocide.

Dans un article daté du 4 avril 1945 intitulé « Le génocide, un crime moderne » (Raphael Lemkin,
« Le génocide : A Modern Crime », Free World. Un magazine non partisan consacré aux Nations unies et à la démocratie, vol. 4, avril 1945, pp. 39-43), Raphael Lemkin énumère, entre autres, les éléments suivants :

  • Cette agression constitue une menace grave pour la vie, la liberté, la santé ou la survie économique ou pour l’ensemble de ces facteurs réunis. Les auteurs peuvent être des représentants de l’État ou de groupes politiques ou sociaux organisés.
  • La responsabilité devra incomber aux individus, tant ceux qui donnent les ordres que ceux qui les exécutent.
  • Le coupable ne pourra pas faire valoir pour sa défense qu’il a agi conformément aux lois de son pays, puisque le génocide doit être déclaré contraire au droit international et à la morale.

Dans un article de 1947 intitulé « Genocide as a crime under international law », Raphael Lemkin inclut dans la définition du génocide non seulement le meurtre de masse, mais aussi « le contrôle forcé des naissances (avortements, stérilisations), ainsi que les dispositifs qui mettent sérieusement en danger la vie et la santé » (Raphael Lemkin, « Genocide as a crime under international law », American Journal of International Law, 1947, vol. 41(1), pp. 145-151).

MODIFICATION DU GÉNOME HUMAIN

Suite au rapport du 10 novembre 2021 rédigé par le Professeur Alexandra Henrion-Caude : « Au-delà de la sécurité, quel est le risque éthique lié à l’administration d’ADN recombinant ou d’ARN exogène ? Quels sont les risques éthiques de la modification du génome et de sa transmission, suite à l’administration d’ARN synthétisé artificiellement ainsi que d’ADN recombinant ? La modification du génome est-elle un scénario qui a été envisagé et discuté ? L’héritabilité de ces modifications est-elle anticipée, comprise et souhaitée ?

Ces questions sont d’autant plus importantes dans les pays où la Convention d’Oviedo pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine a été ratifiée en 1997. Cette convention vise à prévenir les dérives possibles de toutes les techniques de génie génétique.

« En effet, l’introduction de séquences non « naturelles » dans le génome humain, et donc non choisies par la nature, comme c’est le cas de ces « vaccins ARNm » et l’utilisation de « vaccins OGM » pourrait exposer l’humanité à des risques imprévisibles et désastreux ».

Cela nous ramène à l’analyse de Raphael Lemkin qui insistait sur la nature biologique irréductible du génocide « comme visant à la dégradation physique, voire à la destruction de la population concernée« .

Il était fermement convaincu que le génocide relevait du droit naturel, et qu’il n’était fondamentalement pas différent de l’homicide : « Comme dans le cas de l’homicide, c’est le droit à l’existence, le droit naturel des individus, qui est en cause : faire du génocide un crime, c’est proclamer le principe du droit naturel à l’existence de chaque groupe national, racial et religieux.  » (Raphael LEMKIN,  » Genocide « , in American Scholar, 15, 2 avril 1946, pp. 227-230, 229).

Il a ajouté que la réalité de la destruction partielle ou totale du groupe n’est pas nécessaire pour conclure à l’existence d’un génocide ; il suffit que l’un des actes énumérés dans la définition soit perpétré avec une intention spécifique.

CONCERNANT LA SOLUTION APPORTÉE PAR LES JUGES DU PROCÈS DE NUREMBERG :

Tout au long du procès dit de Nuremberg, la défense des auteurs de crimes s’appuie sur le point principal suivant :

« Dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité de l’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille, ni des médecins expérimentateurs, ni des sujets ; dans ces conditions, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu« .

N’est-ce pas ce dont nous sommes actuellement témoins ?

Au cours du procès de Nuremberg, les juges ont progressivement pris conscience de l’inadéquation du matériau normatif fourni par le serment d’Hippocrate pour trancher le débat sur l’universalisme des règles de la morale médicale. Ils ont déclaré :

« Il est clair que toutes ces expériences impliquant la brutalité, la torture, les blessures invalidantes et la mort ont été menées au mépris total des conventions internationales, des lois et coutumes de la guerre, des principes généraux du droit pénal tels qu’ils découlent des lois pénales de toutes les nations civilisées, et de la loi n° 10 du Conseil de contrôle.

Il est clair que l’expérimentation humaine dans de telles conditions est contraire aux « principes du droit des gens, tels qu’ils résultent des usages établis des nations civilisées, des lois de l’humanité et des exigences de la conscience publique ».

CONCERNANT LES DÉFENSEURS, dernières observations :

La Fondation Bill & Melinda Gates finance l’OMS, le Forum économique mondial, l’alliance pour les vaccins GAVI, qui promeut les vaccins dans le monde et M. Gates fait une fortune considérable avec les vaccins, beaucoup plus qu’avec Microsoft, comme il l’a dit publiquement.

Nous avons demandé au professeur Mike Yeadon s’il pouvait s’agir de simples erreurs de la part des fabricants de  « vaccins » : le professeur Mike Yeadon a répondu que

« les quatre grandes entreprises qui ont mis au point ces vaccins génétiques (…) ont toutes décidé de choisir les parties les plus inappropriées du virus pour fabriquer un vaccin. Alors comment ces quatre sociétés ont-elles pu indépendamment, à moins d’être de connivence, faire exactement les mêmes erreurs ? Eh bien, non, elles n’ont pas pu (…).

Elles se seraient corrigées mutuellement et auraient sûrement proposé plusieurs modèles différents. Si vous ne pouvez pas être le premier de la classe, ou vous démarquer clairement de la concurrence, vous abandonnez généralement la lutte, ou vous faites quelque chose de différent. (…) Mais non. Tous les quatre ont présenté un produit mal conçu et ont fait les mêmes erreurs.

À propos, si vous lancez un nouveau programme, la probabilité qu’il soit un jour sur le marché est une fraction de un pour cent. C’est ce qu’on appelle le taux d’attrition. Lorsque les programmes passent de leur phase de création à leur phase de développement, la probabilité qu’ils arrivent sur le marché est très faible. Quelle est la probabilité que les quatre scientifiques aient pu réussir en même temps ? Je dirais qu’on peut montrer mathématiquement qu’elle est infiniment petite.

Donc, ils n’ont fait aucune des choses qu’ils ont dit avoir faites. Par conséquent, je crains qu’il y ait une conspiration, une collusion entre les entreprises pharmaceutiques, les régulateurs et les gens, leur permettant d’aller de l’avant. Donc non, ça ne peut pas être une erreur ».

A propos du médicament expérimental COVID-19, Rochelle Walensky, Directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), 06.03.2022 a déclaré lors d’une interview : « Nous étions si nombreux à vouloir qu’ils soient utiles […]. Nous étions peut-être trop prudents et trop optimistes ».

Nous rappelons également que le responsable de Pfizer, principal producteur des ventes des injections expérimentales de Covid-19, M. Albert Bourla, a obtenu un diplôme de vétérinaire et un doctorat en biotechnologie de la reproduction. Ce dirigeant ne se soucie pas des conséquences dévastatrices des produits qu’il met sur le marché et n’hésite pas à faire des déclarations trompeuses et manipulatrices.

Rien d’étonnant de la part du dirigeant d’une multinationale multirécidiviste, en effet, nous constatons de nombreux faits de corruption de médecins et de fonctionnaires ainsi que des faits de publicité mensongère, ce qui est corroboré par des articles de presse concernant Pfizer.

Par exemple, depuis 1995, Pfizer Inc. a dû payer 6,6 milliards de dollars américains à la suite de 42 poursuites judiciaires ; six affaires sont actuellement en cours.

Albert BOURLA, PDG de Pfizer, a déclaré lors d’une interview datée du 12.03.2022 :

 « Ce type de produit pharmaceutique n’était pas la spécialité de Pfizer mais  « ILS » ont dit qu’il fallait le faire ».

Cette phrase seule dit tout.

EN CONCLUSION :

Nous citerons les propos de Mary Holland, professeur de droit à l’université de New York, qui a interpelé les membres des Nations unies en mai 2016 sur les politiques vaccinales qui violent le code de Nuremberg :

« Le code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument indispensable ». Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques s’est fait l’écho de cette interdiction de l’expérimentation involontaire dans son texte de 1966, qui stipule : Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ».

Cette interdiction est désormais si universellement reconnue que certains tribunaux et universitaires ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier ».

À ce jour, il n’existe pas de norme ultérieure de droit international général (jus cogens) présentant les mêmes caractéristiques, qui exempterait les États du respect du code de Nuremberg, qui est inclus dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et dans la Convention d’Oviedo en particulier.

Or, le droit international général prévoit l’absence d’immunité même pour les chefs d’Etat et leurs administrations en matière de crimes contre l’humanité et plus généralement de toute violation grave du droit international.