Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas !

Traité sur les pandémies : Hervé Juvin député non inscrit au parlement Européen

Depuis deux ans, nous dénonçons, par nos actions et nos manifestations dans la rue, ce dispositif qui va nous mener tout droit vers un contrôle total des populations. Il ne reste plus beaucoup de temps pour faire pression contre cette prise de pouvoir sur les états. Rejoignez nous pour dire NON à ce concept d’une « seule santé » de l’O.M.S . Faites tout ce que vous pouvez pour que notre gouvernement vote contre cette prise de pouvoir tyrannique – qui mettrait l’humanité dans une prison sanitaire mondiale à ciel ouvert.
Si vous ne le faites pas pour vous, faites le pour vos enfants.

Ce traité a été approuvé par les membres de la communauté Européenne et devait être adopté lors du vote de l’Assemblée mondiale de la santé le 24 mai 2023. Il faudrait une majorité des deux tiers pour qu’ils soient ratifiés.

Un traité sur les pandémies piloté par l’OMS, c’est ce que nous avons vécu depuis 3 ans sur le plan sanitaire mais en nettement pire. Ça ne s’arrêtera plus! Les médias ne le disent pas parce qu’ils sont corrompus mais toute cette gestion de crise a été un véritable fiasco sauf pour les politiques, les milliardaires et l’industrie pharmaceutique.

La distanciation sociale vous a-t-elle protégé de la contamination ? NON
Les confinements ont-ils éradiqué la soi-disant pandémie ? NON
Les masques vous ont-ils protégés de la contamination ? NON
Le vaccin vous a t’il protégé contre la contamination ? NON
Le vaccin vous a t’il protégé contre la transmission ? NON
Le vaccin vous a t’il protégé contre les formes graves ? NON
La règle du consentement libre et éclairé a-t-elle été appliquée ? NON
Les députés ont-ils pu accéder aux contrats signés entre les laboratoires pharmaceutiques et la commission Européenne ? NON
Les essais cliniques étaient ils terminés avant les premières injections ? NON
Connait-on la liste de tous les composants de ce vaccin ? NON
A t-on l’expérience de l’ARNm dans les vaccins ? NON
Les test PCR sont-ils fiables ? NON (même l’inventeur de ces tests Kary Mullis ne les recommandait pas pour un diagnostic de masse de la population)

Y a t’il eu des études sur la bio-distribution de ces vaccins ? NON
Y a t’il eu des études sur la génotoxicité de ces vaccins ? NON
Y a t’il eu des études sur l’immunotoxicité de ces vaccins ? NON
Y a t’il eu des études sur la toxicité de l’antigène de ces vaccins ? NON
Y a t’il eu des études sur les processus de fabrication de ces vaccins ? NON
Y a t’il eu des études sur les effets transgénérationnels de ces vaccins ? NON
Y a t’il eu des études sur la dérégulation de l’immunité naturelle de ces vaccins ? NON

L’industrie pharmaceutique a t’elle cachée les effets secondaires de ces vaccins ? OUI
Y a t’il des effets secondaires graves de ces vaccins ? OUI
(Myocardie, Péricardite, Troubles du Rythme, Thrombose, Guillain Barré, Fatigue chronique, Paralysie faciale, Éruption cutanée, AVC Ischémique, Syndrome Coronarien Aigu … la liste ne tiendrait pas sur 10 pages !!!)


Les malades ont-ils été abandonnés par leur médecin ? OUI
Des malades sont-ils morts chez eux ou en EPHAD sans assistance ? OUI
Des malades en EPHAD sont-ils morts à cause du traitement RIVOTRIL ? OUI
Le conseil scientifique nous a t’il menti sur le nombre de doses ? OUI
Le président du conseil scientifique JF Delfraissy regrette t-il sa gestion de la crise ? OUI
L’ANSM reconnaît-elle aujourd’hui les effets secondaires des vaccins ? OUI
A t-on censuré et radié les médecins qui ont soigné leurs patients avec de l’hydroxychloroquine et de l’Ivermectine ? OUI
Les fabricants de vaccins sont-ils déresponsabilisés en cas d’effets secondaires ? OUI
La commission Européenne a t’elle signée en toute opacité un contrat avec pfizer pour 71 milliards de dollars ? OUI
La FDA a t-elle reconnu qu’il y avait de l’oxyde de graphène dans les vaccins ? OUI
Ce vaccin était-il un vaccin expérimentale de modification génétique de type ARNm ? OUI

A-t-on obligé les enfants à se faire vacciner pour pratiquer leur sport ? OUI
A-t-on obligé les enfants à porter un masque toute la journée en classe ? OUI
Les psychologues n’ont-ils pas alertés sur les préjudices physiques et morales des enfants durant cette période ? OUI
Notre gouvernement n’a t’il pas proposé une séance chez le Psy pour les adolescents ? OUI
Des soignantes-soignantes ont-ils été menacés et ont perdu leur emploi ? OUI
N’a-t-on pas fait travailler des soignants vaccinés testés positif plutôt que des soignants non vaccinés testés négatif ? OUI

A-t-on conservé les vaccins à une température < à 80°C comme préconisé ? NON
Les nanoparticules lipidiques du vaccin restent elle au site d’injection ? NON (Pfizer le savait)
Est-ce que ces nanoparticules vont dans tout votre corps en 48 heures ? OUI (Pfizer le savait)
Est-ce que ces nanoparticules traversent toutes les membranes du corps humain ? OUI (Pfizer le savait)
Retrouve -t-on des graisses industrielles recouvertes de polyéthylène glycol dans les ovaires ? OUI (Pfizer le savait)
Les documents de Pfizer reconnaissent-ils plus de 42 000 événements indésirables, dont 1 200 décès ? OUI (Pfizer le savait)
L’effet secondaire numéro un n’est-il pas la douleur articulaire ? OUI Pfizer le savait)

Et la liste pourrait continuer sur des pages et des pages!! Il s’agit du plus grand scandale sanitaire de tout les temps.

Pour tous ceux qui en douteraient encore, voici ce que les médias ne vous diront jamais : Derniers chiffres de l’ANSM (Agence Nationale de la Sécurité des Médicaments)

site : Dossier thématique – Effets indésirables des vaccins contre le – ANSM (sante.fr)

Plus de 156 612 300 injections ont été réalisées au total au 6/4/2023
o Plus de 123 410 500 injections avec COMIRNATY (BioNTech-Pfizer)
o Plus de 24 200 900 injections avec SPIKEVAX (Moderna)
o Plus de 7 863 000 injections avec VAXZEVRIA (AstraZeneca)
o Plus de 1 090 900 injections avec JCOVDEN (Janssen)
o Plus de 40 300 injections avec NUVAXOVID (Novavax)
o Plus de 6 500 injections avec VIDPREVTYN (Sanofi Pasteur)

Et 193 098 ont déclarés un effet secondaire (déclaré un effet secondaire est une mission quasi impossible, la plupart des médecins ne veulent pas le faire). Ce nombre représente entre 1 et 10% de la réalité !!!

Tableau rien que pour le vaccin pfizer :

25% de cas graves, c’est 45274 personnes concernées avec plus de 1800 morts (tout vaccin confondu). Ce sont les chiffres en France et c’est la même chose dans tous les pays qui ont vacciné. Au niveau de l’Europe (EudraVigilance) le nombre de déclarations d’effets secondaires s’élève à 1,5 millions de cas. Dans le monde, c’est 70 000 décès, 11 millions d’effets indésirables dont près de 3 millions graves, c’est à dire handicapants à vie, c’est, depuis décembre 2020, l’estimation la plus basse des données internationales officielles, à multiplier par 5 ou 100 en raison de la sous-déclaration due au déni médical et médiatique frappant les victimes. Les vaccins covid ont donc possiblement provoqué plus de 250 millions d’effets secondaires graves et causé la mort de 7 millions de personnes.

Forcer les gens à se faire injecter en outrepassant leur consentement libre et éclairé, c’est bafouer la notion d’éthique médicale, surtout quand il s’agit d’injections géniques. On voit très bien que le pilotage de tout cela vient toujours des mêmes, Bigpharma, Bigfinance, Bigtech, BigData … aidés par des gouvernants, choisis par eux et à leurs ordres, pour une gouvernance mondiale.

Maintenant ils vont passer à l’échelle supérieure. L’OMS n’hésitera pas à prendre les non-vaccinés et les vaccinés pas à jour de leur nième doses en otages en les opprimant et en les tuant socialement. Nous atteignons les limites de ce qui devait soi-disant ne plus jamais arriver. Quand la politique s’occupe de la santé, on sait où ça peut mener.

Pour information :
L’OMS est enregistrée en tant qu’agence des Nations Unies, ce qu’elle n’est pas en réalité. L’OMS a été créée en 1948 à la demande de David Rockefeller (1915 – 2017), un eugéniste et mondialiste connu, pour contrôler la « santé » de la population mondiale … et la mort.
L’OMS bénéficie d’une immunité totale contre les poursuites pénales et ses cadres supérieurs bénéficient d’un statut diplomatique et d’une exonération fiscale en Suisse.
L’OMS est financée à plus de 80 % par le secteur privé , principalement de l’industrie pharmaceutique, de la Fondation Gates et d’autres sponsors privés . L’OMS travaille clairement pour les intérêts de ses donateurs, principalement les géants pharmaceutiques et Bill Gates, également un eugéniste – et non pour la population.

Courrier envoyé à Sandrine Le Feur députée du Finistère et en copie à tous les députés et sénateurs Français le 20 mars 2023.

Objet : ALERTE – Mise à jour du Règlement Sanitaire International (R.S.I.) – Accord mondial sur la préparation, la prévention et la riposte aux pandémies (Accord pandémies) en cours d’élaboration par l’O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé).
Ref. : Mise à jour du R.S.I. et amendements
1. https://www.who.int/fr/news/item/25-02-2023-governments-hold-first-detailed-
discussions-on-proposed-amendments-to-the-international-health-regulations-(2005)
2. https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr2/A_WGIHR2_6-fr.pdf
Accord sur les pandémies :
1. https://www.who.int/fr/news-room/events/detail/2023/02/27/default-calendar/fourth-
meeting-of-the-intergovernmental-negotiating-body-(inb)-for-a-who-instrument-on-
pandemic-prevention-preparedness-and-response
2. https://www.who.int/fr/news-room/questions-and-answers/item/pandemic-prevention–
preparedness-and-response-accord

Madame,
Nous avons l’honneur de vous informer et de vous alerter à propos des textes en cours d’élaboration cités en objet.
Texte normatif établi par l’O.M.S., le Règlement Sanitaire International (R.S.I.) a connu plusieurs modifications depuis 1951, essentiellement à la faveur d’une mondialisation grandissante et de nouvelles épidémies.
Le dernier R.S.I. a été adopté par l’O.M.S. le 23 mai 2005 pour entrer en vigueur en 2007. Avec un concept clef : l’U.S.P.P.I. (urgence sanitaire de portée internationale). Les gouvernements ont approuvé récemment lors d’une première réunion la nécessité et la marche à suivre pour une mise à jour de ce Règlement. Du 20 au 24 février dernier, une réunion de travail a examiné les 307 amendements proposés par les parties. La prochaine et troisième réunion se tiendra du 17 au 20 avril.

Parallèlement, du 29 novembre au 1er décembre 2021 s’est tenue une session extraordinaire de l’Assemblée Mondiale pour la Santé. Les États Membres de l’O.M.S. sont convenus d’un processus mondial visant à élaborer et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international, en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la Santé, afin de renforcer la prévention, la préparation et la riposte face aux
pandémies.
La récente « pandémie », crise sanitaire de la Covid-19, aurait démontré la nécessité de renforcer le système de sécurité sanitaire internationale en amont des crises, en améliorant la préparation, mais aussi pendant les crises, avec un système d’alerte et de coopération internationale plus robuste.

En vue d’atteindre ces objectifs, la France, Etat-membre de l’O.M.S., s’est dite favorable à l’adoption d’un nouveau traité, complémentaire du Règlement Sanitaire International.
Un calendrier d’élaboration de cet accord a été établi. Un organe de négociation y travaille. Un avant-projet a été rédigé en décembre 2022. L’organe de négociation soumettra ses conclusions à l’examen de la 77ème Assemblée mondiale de la Santé en 2024 et en fera un rapport d’étape à la 76ème Assemblée mondiale de la Santé en 2023.
Le projet préliminaire conceptuel est en ce moment même en discussion par les Etats membres. Il y sera notamment question de finaliser les modalités de signatures de l’accord par tous ses membres.
Après une lecture détaillée du nouveau traité et des amendements du Règlement en projet, nous attirons votre attention sur ses conséquences pour les populations :
Grande nouveauté, le futur Règlement sera contraignant :
« Un des principes généraux du droit international veut qu’une fois qu’un instrument juridique international est en vigueur, il a force obligatoire pour ses parties, qui doivent remplir en toute « bonne foi » les obligations qui en découlent. »
Cela signifie en clair qu’il s’imposera aux Etats signataires.
Les clauses de l’avant-projet indiquent que l’accord prendra effet « provisoirement » une fois signé par les délégués de l’O.M.S. Celui-ci sera donc juridiquement contraignant pour les membres sans ratification par les législateurs.
Nous souhaitons connaitre les noms et qualités de ces délégués futurs signataires de l’accord.
Ces nouveaux textes en gestation vont considérablement augmenter les pouvoirs de l’O.M.S. L’Organisation pourrait ainsi devenir un organe directeur mondial doté de politiques juridiquement contraignantes. Elle pourrait disposer de tous les pouvoirs dans la gestion des futures pandémies. Les Etats signataires devront se soumettre à ses directives. Ne pas s’interroger sur une telle soumission serait gravissime ?
Aujourd’hui, l’O.M.S est financée très majoritairement par des fonds en provenance d’organisations internationales, d’organisations non gouvernementales et d’acteurs privés.

Moins de 20 % de son budget provient des « cotisations » de base des 194 pays membres.
Les citoyens et plus généralement les populations sont en droit de se poser des questions sur les véritables motivations de l’Organisation dans la mise en place de ce traité. Ainsi, les amendements proposés auraient
pour effet :
1. de modifier la nature générale de l’Organisation mondiale de la santé, qui passerait d’une organisation consultative se contentant de formuler des recommandations à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes. (Article 1)
2. d’étendre considérablement le champ d’application du Règlement sanitaire international pour y inclure des scénarios qui ont simplement un « potentiel d’impact sur la santé publique ».
3. de chercher à supprimer « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes. » (Article 3)
4. – de donner au directeur général de l’O.M.S le contrôle des moyens de production par le biais d’un « plan d’allocation des produits de santé » afin d’obliger les États parties développés à fournir des produits de réponse à la pandémie selon les instructions. (Article 13A)
5. de donner à l’OMS le pouvoir d’exiger des examens médicaux, des preuves de prophylaxie, des preuves de vaccination et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et le traitement. (Article 18)
26. d’instituer un système de certificats sanitaires mondiaux sous forme numérique ou papier, comprenant des certificats de test, des certificats de vaccin, des certificats de prophylaxie, des certificats de guérison, des formulaires de localisation des passagers et une déclaration sanitaire du voyageur. (Articles 18, 23, 24, 27, 28,31, 35, 36 et 44 et annexes 6, 7 et 8)
7. de rediriger des milliards de dollars non spécifiés vers le complexe industriel d’urgence des établissements pharmaceutiques sans aucune responsabilité. (Article 44A)
8. de permettre la divulgation de données personnelles sur la santé. (Article 45)
9. d’augmenter considérablement la capacité de l’Organisation à censurer ce qu’elle considère comme de la désinformation et de la mésinformation. (Annexe 1, page 36)
Adopter ces textes présente des risques majeurs et démesurés. Comment est-il possible de donner carte blanche à ce qui n’est qu’une Organisation, une institution non élue, qui jusqu’ici émettait des recommandations mais ne contraignait pas ?
La santé publique est aujourd’hui supposée inclure :
« La santé numérique, les programmes et politiques de santé numérique à l’échelle nationale ou à grande échelle, l’intelligence artificielle et santé, la réalité virtuelle et augmentée dans les soins de santé, l’innovation biomédicale, la chirurgie robotique, la technologies à porter santé et bien-être, la traçabilité (p. ex. chaîne de blocs) et santé, éthique, gouvernance et sécurité dans l’écosystème de la santé / économie de la santé / droit de la santé axés sur la santé numérique » mais aussi :
« le changement climatique, le développement durable, la collecte et la communication des données sur les changements démographiques et de modes de vie, l’immigration … et la lutte contre les émissions de carbone devient un problème de santé publique et donc une « urgence » de santé publique. »
N’est-il pas exorbitant, déraisonnable, anti-démocratique, de laisser une organisation soit-elle mondiale prendre la main en tous ces domaines ?
Pour rappel, en 2014-2016, face à la crise d’Ebola, l’Organisation n’en était pas sortie grandie ; elle avait été jugée incompétente et sans volonté politique autre que celles de ses principaux bailleurs de fonds.

Comment et pourquoi dès lors lui accorder une telle légitimité, un tel pouvoir ? Comment ne pas voir ici un transfert de gouvernance des épidémies des pays membres vers les principaux bailleurs de l’O.M.S, c’est-à- dire le secteur privé dont les conflits d’intérêts sont manifestes, néfastes et incontestables désormais.

Nous devons réagir et prendre la mesure du péril.
Il est aussi urgent -au vu de ce que nous a enseigné la crise Covid-19 – qu’un débat scientifique ouvert, pluriel, sans censure puisse avoir lieu véritablement concernant les questions de santé.
Plusieurs pays s’opposent déjà aux amendements de ce R.S.I. et ne cachent pas leur réticence à l’adoption de ce nouveau traité qui viendrait une fois de plus rogner les attributions souveraines des Etats membres au détriment de la liberté de choix et d’accès aux soins, dans le total respect de la dignité des personnes, des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Par ailleurs, au vu des enjeux considérables et immodérés en matière de potentielle privation de liberté individuelle ou de contrainte à traitement contenus dans ce nouvel accord, les populations doivent impérativement être consultées. Or, le processus ici utilisé s’affranchit de tout principe démocratique. C’est injustifiable et intolérable.

Madame la Députée, une fois validé, ce traité s’imposera à TOUS. Il ne sera pas possible de faire machine arrière.
En dépit de votre qualité de représentant du peuple de France, vous ne serez pas consultée sur ce sujet. Pourtant, le principe du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes demeure. Il est acquis depuis son inscription dans la Charte des Nations Unies, qui en a fait un principe fondamental du droit international. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, comme les droits de l’homme, « est engagé dans un lent processus d’effectuation dont la validité et le caractère impératif ont leur fondement dans la conscience internationale. » (Denis Gingras – Faculté de Philosophie – Université de Laval, Québec).
« Non seulement il exclut pour un peuple toute forme de cession et d’annexion forcées, mais il établit un lien entre son consentement et la structure étatique dans laquelle il doit se développer et trouver son bien. Ce principe est consacré d’une manière expresse dans la Charte des Nations Unies. » (Denis Gingras)

La surveillance et le contrôle de toutes les activités humaines sur la planète figurant au cœur du concept de « santé globale » de l’O.M.S. et présentés comme un moyen ne serait-il pas en fait une finalité ? Si « moyen » il l’est, n’est-il pas totalement disproportionné par rapport au but poursuivi ?
En démocratie, le peuple est souverain. Vous n’êtes que son représentant. Il vous appartient de garantir sa souveraineté et d’en trouver les moyens. A défaut, les représentants du peuple dont vous faîtes partie ne seront plus consultés. Dans le cas présent, l’O.M.S. prendra la main sur les politiques de santé publique, les imposera à tous, faisant fi des particularités locales et du consentement des peuples.

Il n’est dans l’intérêt de personne de se laisser dicter une politique de santé qui plus est lorsque celle- ci est pilotée par des individus soumis à la loi du marché et prêts à imposer un contrôle total de la population.
Ce nouveau traité est une nouvelle violation des droits de l’homme, une insulte à la pensée
humaine et une atteinte grave à la démocratie.

Respectueuses salutations.
Le Collectif du Pays de Morlaix
pour la Vérité et les Libertés

Le Collectif du Pays de Morlaix pour la Vérité et les Libertés s’est donné pour objectifs la recherche de la vérité, la défense des libertés fondamentales de l’être humain et la participation au développement d’une société visant à respecter la Vie, l’Être humain et la Nature.
Il se donne notamment pour mission :
 La recherche de la vérité pour informer de façon indépendante, la promotion du débat et de la discussion, sans peur et sans tabou.
– La défense des libertés, publiques et privées, en paroles et en actions, auprès de la population, des élus…
– D’agir collectivement pour que le peuple, conscient et uni, se réapproprie sa citoyenneté afin de regagner en autonomie
et en liberté.
– L’organisation d’une vie économique locale et solidaire, en quête d’autonomie alimentaire notamment, respectueuse de l’être humain et du vivant.
Le collectif est indépendant de tout mouvement politique ou religieux mais respectueux des opinions de chacun.