Le 6 décembre dernier, une étude parue dans Nature a mis en évidence des erreurs de traduction de l’ARN messager modifié des vaccins anti-Covid. Ce dysfonctionnement a pour effet de produire un nombre indéterminé de protéines connues ou inconnues dans le corps, dont les effets pourraient être délétères. Suite à cette publication scientifique, l’avocat Jean-Pierre Joseph invite tous les vaccinés à porter plainte.
Des erreurs de codage dues à un ARN modifié
Comme nous le rapportions dans un article précédent, l’étude publiée dans la revue Nature le 6 décembre 2023 montre un dysfonctionnement énorme dans la traduction des ARN messagers contenus dans les vaccins anti-Covid. Pour différentes raisons, les fabricants ont en effet modifié l’ARN messager devant servir à coder la protéine Spike du SARS-CoV-2. Ils ont notamment remplacé l’un des nucléotides de l’ARN, l’uridine, par de la 1-méthyl-pseudo-uridine.
Le problème est que celle-ci n’est la plupart du temps pas reconnue par le système de lecture et de traduction de la cellule (le ribosome). Résultat : au lieu de produire des protéines Spike, la cellule produit de manière aléatoire d’autres protéines, connues ou inconnues, et dont on ignore les conséquences à court, moyen et long termes.
◆ Les protéines produites ne sont pas celles annoncées par les fabricants
Pour l’avocat Jean-Pierre Joseph, spécialiste en droit de la santé, cette étude est la preuve d’une tromperie. « Nos concitoyens “vaccinés” à l’ARN messager anti-Covid se sont fait injecter des informations génétiques ordonnant aux cellules composant leur corps de produire d’autres éléments biologiques (protéines) que ceux correspondant à ce qui était annoncé par leurs fabricants et les autorités sanitaires européennes et françaises », commente-t-il dans une interview publiée le 1er janvier sur le site Profession-Gendarme.
« Aucun contrôle du codage génétique n’a été réalisé avant injection », poursuit l’avocat, persuadé que « cette manipulation ne peut pas être le fruit du hasard : elle est forcément intentionnelle ». Que cette affirmation soit vraie ou fausse, car il faudrait le démontrer, il est en tout cas avéré par l’étude de Nature que les protéines produites à partir de l’ARN messager modifié des vaccins ne sont pas celles annoncées par les fabricants.
◆ Tous les vaccinés ont été trompés et peuvent porter plainte
Pour Me Joseph, « cette tromperie, qu’il y ait effet indésirable ou pas, permet à tous les injectés de déposer plainte afin de demander réparation de leur préjudice que ce soit pour leurs effets secondaires ou pour le fait que, sans leur consentement, et sans même qu’ils ne le sachent, ils ont reçu des ARNm dont le code génétique peut être modifié ».
Un modèle de plainte rédigé par un groupe de juristes et de scientifiques est disponible en ligne pour tous ceux qui souhaitent faire la démarche. Une fois remplie, la plainte est à adresser en courrier recommandé avec accusé de réception au procureur de la République du tribunal judiciaire dont dépend le plaignant.
◆ « Nous ne pouvons pas laisser davantage nos institutions médicales valider une telle pratique »
Pour finir, Me Joseph insiste « sur le fait que n’importe quelle personne s’estimant simplement trompée par cette campagne de vaccination anti-Covid-19 peut déposer cette plainte. Il n’est pas nécessaire de justifier d’un quelconque effet secondaire. Car l’enjeu se situe ici bien au-delà : nous ne pouvons pas laisser davantage nos institutions médicales valider une telle pratique mettant en jeu les intérêts fondamentaux de la nation et l’intégrité de chacun, ainsi que de l’espèce humaine. »
◆ De grandes quantités d’ADN également présentes dans les vaccins
Soulignons également que des scientifiques indépendants auraient trouvé de grandes quantités d’ADN résiduel dans les vaccins (issus du processus de fabrication), ce qui pourrait entraîner des risques de modification du génome des personnes injectées. Cette révélation a récemment suscité de vives réactions dans le monde médical en Allemagne.
Article par Alexandra Joutel