Publié le 4 décembre 2021 par Olivier Demeulenaere
La corruption d’Ursula von der Leyen mène à la vaccination obligatoire en Europe
On savait la Commission européenne inféodée aux puissances multinationales, ce qui signifie antinationales (elles reversent très peu d’impôts aux nations qu’elles ratissent) ; on savait sa nouvelle présidente, Ursula von der Leyen, surnommée von der Liar (Ursula du Mensonge), très proche de Pfizer via son mari Heiko, mais alors là, les égouts de l’UE débordent. C’est carrément toute la merde de la corruption qui gicle des tréfonds de l’entité européiste. Sur les réseaux sociaux, tous les éléments tombent en même temps, c’est une pluie d’infos et nous allons essayer de les mettre dans l’ordre.
D’abord, il y a cet article énorme sur Agoravox de Gérard Luçon, qui reprend un article du Roumain Adrian Onciu, qui a balancé une enquête sur la corruption de l’UE, du couple Leyen et de Pfizer. On rappelle que l’UE a acheté pour 36 milliards d’euros de pseudo-vaccins au groupe du PDG Albert Bourla, qui n’a pas été lui-même vacciné, si l’on en croit sa déclaration.
Voici le début de cette enquête traduite :
Premier épisode / Comment le mari d’Ursula von der Leyen est devenu le pion principal dans l’affaire Pfizer de 36 mlds $
Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.
Les résultats de la présente enquête sont vraiment explosifs. Ils montrent sans équivoque la combinaison putride entre de hauts responsables politiques de l’UE et la mafia Big Pharma. Et tout cela en pleine pandémie. Ils se sont moqués de la vie, de la santé et des libertés des centaines de millions de personnes terrorisées par un système de propagande mensongère. Ils nous ont mis des milliards de vaccins autour du cou (bien au-delà de ce dont nous aurions besoin), juste dans une quête désespérée du profit.
Le gros lot est d’environ 36 milliards de dollars. Soit 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer, négociées par le chef de la Commission européenne avec le patron de l’entreprise pharmaceutique, Albert Bourla. Négociées de manière totalement opaque, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Vous pouvez également les retrouver sur le site de l’agence Mediafax, pourvu qu’il n’y ait pas de « défaillances techniques ».
Je présenterai brièvement l’histoire dans cette première partie, en m’aidant moins de chiffres, mais avec suffisamment de références et de noms de protagonistes, comme il en ressort des preuves directes et indirectes réunies. C’est le devoir du procureur en chef Kovesi maintenant de mener l’enquête. Vérifier les comptes bancaires, la circulation de l’argent entre les entreprises, demander l’aide du FBI à New York et à Bruxelles, punir les coupables. Comme elle l’a fait en Roumanie avec tant de politiciens de premier plan. Du moins faut-il qu’elle ait la volonté nécessaire.
Je précise que la société Pfizer n’en est pas à son premier délit. Elle a beaucoup de dossiers, certains pénaux. Aucun coupable pour le moment. Les procureurs américains l’ont mise en observation, mais ne sont pas allés plus loin. Ils n’ont pas même puni les cadres impliqués.
La clé de la négociation de l’accord de 36 milliards de dollars est le mari d’Ursula von der Leyen. Jusqu’au début de la pandémie, et même bien après, personne n’avait entendu parler du Dr Heiko von der Leyen. Époux de la Première dame de Bruxelles. En d’autres termes, le mari de la cheffe du gouvernement européen.
La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.
Et maintenant, souvenons-nous. La pandémie a commencé en Roumanie en mars 2020. Quelques mois plus tard, en décembre 2020, un médecin allemand relativement inconnu, chef d’une clinique à Hanovre, atterrit directement au conseil d’administration d’une très puissante entreprise Big Pharma aux États-Unis. Et non, il ne s’agit pas de Pfizer. Cela aurait été trop simple. Trop frappant. Dr Heiko a été transféré à l’étranger, « dans l’intérêt du service », dans une société pharmaceutique spécialisée (depuis de nombreuses années) dans la technologie bien connue de l’ARNm. C’est Orgenesis Inc. À l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers. Mais une énorme opportunité s’est présentée : la pandémie ! Ainsi, les bons gars de Pfizer ont immédiatement flairé la méga-affaire mondiale. D’ailleurs, ils avaient de l’expérience !
Le résumé de cette (juteuse) affaire de famille par François Ducrocq, homme de brevets :
Un gigantesque conflit d’intérêts aux conséquences incalculables !
On comprend mieux pourquoi notre mère à tous, la patronne de la Commission, cherche à vacciner de force près d’un demi-milliard d’Européens. Pour le site Contrepoints, cette volonté politique, pour ne pas dire totalitaire, peut mener à une situation à la guadeloupéenne :
La présidente de la Commission européenne Ursula van der Leyen vient d’annoncer qu’elle est en faveur d’une discussion sur la vaccination obligatoire dans les pays de l’Union européenne. Si pour l’instant le choix est laissé aux États, une brèche est ouverte. Le risque que les dirigeants européens s’y enfoncent est important.
La position favorable de la Commission envers la vaccination obligatoire risque de soulever des remous majeurs dans l’UE et tout particulièrement dans des pays eurosceptiques aussi bien peu vaccinés ou que vaccinés. (…)
Le souhait de la Commission d’une vaccination obligatoire obéit à une logique politicienne. Cette obligation n’a pas d’intérêt dans une Europe de l’Ouest qui avance bien sa campagne de vaccination. Par contre, elle serait punitive pour l’Europe centrale.
Pour l’instant, la Commission laisse les États décider. Mais la gestion de la crise a montré que les recommandations deviennent parfois des obligations. Plus concrètement, il est à craindre des pressions sur les États qui refuseraient d’aligner leur stratégie vaccinale sur celles des États clés comme l’Allemagne ou les institutions européennes.
Cette position pourrait donner les mêmes résultats que la France métropolitaine avec les territoires d’outre-mer. Il apparaît peu probable que des pays connus pour avoir un vivier d’eurosceptiques se montrent passifs si cette obligation devenait réalité.
La dictature vaccinale européenne se met donc doucement en place et l’on voit apparaître de drôles de choses, ici et là, qui donnent un aperçu d’un très dystopique futur…