L’Espagne admet avoir pulvérisé des «Chemtrails» dans le cadre d’un programme secret de l’ONU

Relai-Info – 16 avril 2024 – Publié en juin 2022

Incroyable, inimaginable ! Qui se serait attendu un jour à de pareils aveux sur la réalité des « chemtrails« , ces épandages chimiques diffusés par avion sans aucun consentement (ni même information) des peuples. Depuis combien d’année les médias du système et les pseudo-experts autoproclamés raillent-ils et nient-ils la réalité de ces épandages ?Un hommage tout particulier à la regrettée lanceuse d’alerte Claire Séverac qui, à ce sujet comme sur tant d’autres, fut traitée de « complotiste » aussi et eut à essuyer les critiques, les moqueries et les insultes pour avoir tout simplement eu raison bien avant le commun des mortels. Le meilleur hommage qui puisse lui être rendu consiste à acheter ses principaux ouvrages si richement documentés et surtout à les lire. Il faut absolument avoir lu, notamment, « La guerre secrète contre les peuples » et « Complot mondial contre la santé ». La réalité y dépasse la fiction. (NDLA)

Le gouvernement espagnol a ordonné aux militaires de pulvériser discrètement des chemtrails mortels sur ses citoyens avec l’autorisation de l’ONU sous couvert de « l’état d’urgence pour la gestion de la situation de crise sanitaire causée par le Covid-19. »

Le programme de chemtrails, qui implique la pulvérisation de biocides sur la population, a été autorisé par décret royal, a été discrètement reconnu par le gouvernement le 16 avril 2020, un mois seulement après que l’Organisation mondiale de la santé ait annoncé que le Covid-19 était une pandémie.

L’ordonnance SND/351/2020 publiée par le gouvernement espagnol dans le Journal officiel de l’État se lit comme suit :

L’ordonnance SND/351/2020, du 16 avril, qui autorise les Forces et Unités Armées et les Unités Militaires d’Urgence à utiliser des produits chimiques biocides autorisés par le Ministère de la Santé pour la désinfection afin de faire face à la Crise Sanitaire du Covid 19.

Le décret royal 463/2020, du 14 mars, déclare l’état d’urgence pour la gestion de la situation de crise sanitaire causée par le COVID-19, qui comprend une série de mesures visant à protéger le bien-être, la santé et la sécurité des citoyens, à contenir la progression de la maladie et à renforcer le système de santé publique.

Le ministre de la Santé, Salvador Illa Roca, a également reçu des pouvoirs supplémentaires pour « dicter » des ordres aux militaires pendant l’ »urgence sanitaire ».

Concrètement, conformément aux dispositions de l’article 4.3 du Décret Royal 463/2020, du 14 mars, le Ministre de la Santé est habilité à dicter les ordres, résolutions, dispositions et instructions interprétatives qui, dans le cadre de son champ d’action en tant qu’autorité déléguée, sont nécessaires pour garantir la prestation de tous les services, ordinaires ou extraordinaires, afin de protéger les personnes, les biens et les lieux, par l’adoption de l’une des mesures prévues à l’article 11 de la Loi Organique 4/1981, du 1er juin, des états d’alarme, d’exception et de site.

Pour l’accomplissement effectif de ces mesures, les délégués des autorités compétentes pourront requérir l’action des Forces armées, conformément à ce qui est prévu à l’article 15.3 de la loi organique 5/2005, du 17 novembre, de la défense nationale.

Le ministère de la Santé a reconnu qu’il avait évalué la capacité virucide des désinfectants chimiques.

Le ministère de la Santé a publié et mis à jour la liste des biocides à utiliser contre le nouveau coronavirus, autorisés et enregistrés en Espagne conformément à la norme UNE-EN 14476, qui évalue le pouvoir virucide des antiseptiques et des désinfectants chimiques. En particulier, en raison de leur efficacité particulière, certains biocides sont établis dans le groupe principal 1 de l’article 1.1 du décret royal 830/2010, du 25 juin, qui établit la réglementation de la formation pour effectuer des traitements avec des biocides.

L’arrêté du gouvernement espagnol préconise explicitement l’utilisation de « supports aériens » et de « techniques de désinfection aérienne » afin d’atteindre rapidement « toutes les surfaces » via des techniques de nébulisation, de thermonébulisation et de micro-nébulisation.

Parmi les techniques de désinfection les plus efficaces, il y a l’utilisation de médias aériens, puis à travers eux, avec des techniques de nébulisation, thermonébulisation et micro nébulisation, toutes les surfaces sont atteintes rapidement, en évitant de dépendre de l’application manuelle, qui est plus lente, et parfois n’atteint pas toutes les surfaces car il y a des obstacles qui empêchent de les atteindre.

Les unités de défense NRBC des Forces Armées et de l’Unité Militaire d’Urgence (UME) disposent des moyens personnels, des matériaux, des procédures et de la formation suffisante pour réaliser la désinfection aérienne, puisqu’il s’agit d’opérations qu’elles exécutent régulièrement, à l’exception qu’au lieu d’utiliser des produits biocides, elles le font avec d’autres produits chimiques décontaminants. Par conséquent, compte tenu de ce qui précède et de l’effet d’amélioration et de rationalisation des opérations de désinfection de tous les types d’installations que le personnel des Forces Armées vient à effectuer, il est considéré approprié d’autoriser, à titre exceptionnel et pour la durée de l’état d’alarme, les Unités de Défense NRBC des Forces Armées et l’UME, l’utilisation de désinfectants et biocides du groupe principal 1 décrit dans l’article 1.1 du décret royal 830/2010, du 25 Juin, qui établit la réglementation.

Ce n’est pas la première fois que le gouvernement espagnol est mêlé à un scandale de chemtrail.

En 2015, quatre lanceurs d’alerte de l’Agence météorologique de l’État ont annoncé via le Parlement européen que des avions pulvérisaient régulièrement dans toute l’Espagne :

« Le 19 mai 2015, l’eurodéputé Ramon Tremosa i Balcells (ALDE) a annoncé au Parlement européen que quatre travailleurs de l’Agence météorologique de l’État avaient avoué que l’Espagne était entièrement pulvérisée par des avions qui répandent du dioxyde de plomb dans l’atmosphère, de l’iodure d’argent et de la diatomite. L’objectif, selon le même député, serait de repousser les pluies et de permettre aux températures d’augmenter, ce qui crée un environnement climatique estival pour le tourisme et, en même temps, aide les entreprises du secteur agricole. Ce dernier, à son tour, produit des gouttes froides de grande intensité ».

Source