COVIDHUB – 5 décembre 2023
La journaliste belge, proche de Robert Kennedy, avait annoncé en 2019 un «plan mondial» ressemblant étonnamment à ce qui s’est passé ensuite durant la crise Covid.
Les crises que nous traversons au 21e siècle nous tombent-elles sur la tête par malchance comme des tuiles… ou sont-elles orchestrées? Une question que certains vont immédiatement écarter comme «complotiste».
Pourtant, la journaliste belge Senta Depuydt, interviewée dans notre vidéo, rassemble méthodiquement depuis des années des dates, des faits, des noms qui s’assemblent peu à peu comme les pièces d’un puzzle : une idéologie politique, institutionnelle et industrielle de la vaccination prête à exploiter un gigantesque marché global émergent.
En mars 2019, sa vaste enquête décrivait avec précision dans le magazine Nexus, un an avant le début de la crise Covid, toutes les mesures liberticides et l’idéologie vaccinale qui allaient être imposées aux populations.
Un agenda vaccinal rodé par l’expérience Covid
Pas à pas, selon ses découvertes, on semble se diriger vers un agenda de vaccination généralisée de l’humanité contre toutes sortes de maladies. Le Covid ayant servi de banc d’essai plutôt réussi. Les intérêts conjugués des pharmas, des financiers, des géants d’internet et de l’intelligence artificielle se ruent sur un marché inépuisable de 8 milliards d’êtres humains.
Tout a commencé lorsqu’elle cherchait un lien possible entre les vaccinations de plus en plus nombreuses des petits enfants et l’explosion des cas d’autisme, dont son propre fils était atteint.
L’aveu du lanceur d’alerte du CDC
En 2016, William Thompson, un scientifique du CDC (l’agence étasunienne de contrôle des maladies), avoue publiquement que ce lien est patent, malgré les dénégations de son agence. Il en sortira un documentaire, immédiatement taxé de complotiste: ‘Vaxxed – From Cover-Up to Catastrophe’ (Vaccinés – de la dissimulation à la catastrophe).
Entre 2014 et 2019, affirme Senta Depuydt, se met en place un agenda de «sécurité sanitaire». La redéfinition du terme de pandémie par l’OMS, avec son label «d’urgence», permettent d’outrepasser la souveraineté des Etats et les droits humains.
C’est ainsi qu’en France comme en Italie, on est passés de 3 à 11 vaccins obligatoires dès la naissance. La propagande se met en place, de même que les projets de pass sanitaires et les technologies génétiques de vaccins expérimentaux.
En marche vers un «gouvernement mondial»
La journaliste – qui a collaboré étroitement avec le candidat à la présidence des Etats-Unis Robert Kennedy Jr, très critique des politiques actuelles du ‘tout-vaccinal’ – en arrive à une conclusion très forte : ces outils soutiennent l’idée d’un gouvernement mondial qui contrôlera peu à peu toutes les activités humaines.
La preuve, dit-elle : les populations ont largement obéi, sans se poser de questions, à l’injonction vaccinale contre le Covid, alors qu’on ne sait toujours pas ce qu’il y a dans ces injections expérimentales testées sans contrôle digne de ce nom.
Opération de type militaire
Sous couvert d’urgence (non démontrée), on a eu affaire aux Etats-Unis à une opération de type militaire en dehors des circuits habituels de la santé. Que le reste du monde a entérinée sans sourciller – à part une série de pays africains.
Ce processus a été expliqué en détails dans le livre de Robert Kennedy Jr : Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma – leur guerre contre la démocratie et la santé publique