Les législateurs français plaident pour la mise en œuvre d’une nouvelle législation qui permettrait au gouvernement mondialiste d’extrême gauche d’emprisonner les personnes qui critiquent les vaccins expérimentaux comme les injections d’ARNm du Covid.
Mercredi 14 février, un projet de loi très controversé a été approuvé par l’Assemblée nationale française.
La législation proposée pourrait potentiellement criminaliser ceux qui s’opposent aux traitements de thérapie génique à ARNm.
Cette loi stricte a été adoptée discrètement avec un minimum de discussions.
Il est susceptible d’incarcérer les personnes qui s’opposent au recours à des mesures thérapeutiques ou préventives (y compris la thérapie génique expérimentale à ARNm) pour une durée maximale de 3 ans.
Ceux qualifiés d’« anti-vaccins » s’exposeraient également à une amende substantielle de 45 000 euros (48 500 dollars).
Le projet de loi proposé a été déposé en 2022 après un rapport de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes).
L’aspect qui a suscité une controverse importante est l’ajout d’un délit pour sanctionner la « provocation à l’abandon ou à l’abstention de soins ».
Le gouvernement français affirme que cette mesure vise à poursuivre les pseudo-thérapeutes et à protéger les victimes d’abus sectaires.
Tkp, un blog allemand axé sur la science et la politique, a couvert cette nouvelle révolutionnaire, en mettant spécifiquement l’accent sur l’article 4 de la nouvelle loi.
Dans la version anglaise traduite, le rapport déclare : « C’était une question controversée, mais l’administration Macron a finalement eu gain de cause. »
« L’article 4 est au cœur de la nouvelle loi, qui a d’abord été supprimée puis rétablie.
« Cela crée une nouvelle infraction pénale et criminalise la « demande d’arrêter ou de s’abstenir d’un traitement médical thérapeutique ou prophylactique » ainsi que « la demande de recourir à des pratiques présentées comme thérapeutiques ou prophylactiques ».
« Cela signifie que toute résistance au traitement par ARNm (et à d’autres méthodes médicales industrielles) pourra être criminalisée à l’avenir. »
Dans un premier temps, le gouvernement français a rencontré des difficultés pour faire approuver cette nouvelle loi.
Néanmoins, grâce à une reformulation méticuleuse, il a finalement été adopté avec une majorité écrasante de 151 voix pour et seulement 73 contre, avec un minimum de délibérations.
Les correspondants parlementaires français ont rapporté :
« Brigitte Liso a donc déposé un amendement visant à rétablir – et reformuler – l’article 4.
« Même si la rapporteure a souligné que l’infraction n’est pas remplie ‘si la preuve du consentement libre et éclairé de la personne est apportée’, elle a également précisé que la nouvelle formulation introduit une dimension supplémentaire dans le contexte de la protection des lanceurs d’alerte.
« La loi du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique avait pour objectif.
« Un objectif réitéré dans le texte de l’amendement, selon lequel ‘une information rapportée ou divulguée par un lanceur d’alerte dans les conditions prévues à l’article 6’ de la loi précédemment citée ‘ne constitue pas une provocation’ au sens de l’article 4 de la loi. présent projet de loi.
Le jour même où la nouvelle loi a été approuvée par l’Assemblée nationale française, les opposants à la législation se sont tournés vers les réseaux sociaux pour exprimer leurs réserves.
Annelise Bocquet, une éminente biologiste, faisait partie de ceux qui ont critiqué la loi.
Bocquet prévient que « toute opposition aux injections d’ARNm-LNP » serait qualifiée de violation de la loi.