Août 2024
Giovanni Morassi, médecin à la retraite de 74 ans de Gorizia, avec 49 ans de profession médicale, a mûri au cours de la « pandémie » de plus en plus de doutes sur l’efficacité du vaccin Covid.
Bien qu’il soit déjà à la retraite au début de la pandémie, il s’est quand même mis à disposition pour la campagne de vaccination. Selon lui, dans une interview à La Verità, les droits et devoirs des médecins ont été piétinés en fonction de l’urgence mondiale de Covid19.
« C’était une forme infectieuse, donc un médecin sait comment traiter une infection. À mes amis, à mes proches, j’ai prescrit de l’ibuprofène qui est un anti-inflammatoire et si la fièvre ne disparaissait pas après trois jours, selon mes notions de pathologie, je recommandais l’antibiotique Azithromycine.
Et puis de consulter le médecin généraliste », raconte Morassi. Il explique comment le paracétamol, tant soutenu par le ministère de la santé, est en fait un mauvais anti-inflammatoire, utilisé comme médicament défensif pour éviter les plaintes légales. Le médecin repenti a d’abord administré des doses de vaccin anti-Covid car il était un fervent partisan du pouvoir des vaccins. Ces derniers selon son avis : « Il faut des années d’expérimentations, l’anti covid sorti après quatre mois ne m’a pas convaincu mais il était défini comme une mesure d’urgence, donc acceptable ». Les préoccupations quant à la sécurité du vaccin surviennent plus tard, lorsqu’il a été décidé de l’administrer aux plus jeunes. Les parents vaccinaient leurs enfants, la plupart du temps, pour leur permettre d’aller à l’école et à la salle de sport. Le climat a changé à la suite des premières études sur les complications du vaccin Covid, soulevant des questions que de nombreux médecins s’étaient déjà posées, explique Morassi.
L’Ordre des Médecins, explique le médecin repenti, a obligé un protocole qui n’avait aucune base scientifique, les collègues qui ne voulaient pas se faire vacciner, même les bons médecins, ont été suspendus de la profession quand il suffisait de leur imposer l’utilisation du masque. C’était aberrant, on ne peut pas imposer de traitement.
Le médecin s’en prend également à tous ces « experts » qui ont fait passer les incertitudes pour la vérité et affirme que : « Nous avons exposé la population à des complications, peut-être même en modifiant son patrimoine génétique, face à une maladie qui pouvait être traitée. »
Après de nombreuses récompenses, Giovanni Morassi, a décidé de ne pas accepter celui qui lui a été conféré par l’Ordre des médecins pour l’administration des vaccins anti-Covid, déclare : « Il y a deux mois, ils m’ont donné un certificat pour avoir vacciné, après avoir lu les raisons, je l’ai déchiré. J’ai reçu beaucoup de récompenses, je ne trouve pas cela honorable. Peut-être que ce que j’ai fait n’était pas la bonne chose.