Chemtrails : l’UE appelle à des discussions mondiales sur les risques liés à la géo-ingénierie climatique

C’est tout simplement un appel officiel inattendu !

Par Aguellid23 juillet 2023

Photo d’illustration : Le vice-président exécutif de la Commission européenne, Frans Timmermans, s’exprime lors d’un entretien avec Reuters lors du sommet sur le climat COP27 dans la station balnéaire de la mer Rouge à Charm el-Cheikh, en Égypte, le 17 novembre 2022. REUTERS/Emilie Madi/File Photo

On se lève le matin, on croit que c’est un jour comme les autres et pourtant ce n’est pas le cas ! Voici que l’agence internationale Reuters publie un article concernant la commission européenne et la dangerosité de la géo-ingénierie, les chemtrails ! Selon le papier, 2 techniques sont utilisées : la première consiste à capter le CO2 dans des usines et la deuxième, nommée SRM, tente de réfléchir le rayonnement solaire par des épandages dans le ciel. C’est tout simplement un aveu de l’existence de ces techniques, pire encore, de leur dangerosité.

Sauf qu’ils n’utilisent pas le terme chemtrails mais celui d’injection stratosphérique d’aérosols, n’est-ce pas merveilleux ! Le Docteur Frank Biermann, spécialiste en géo-ingénierie, rappelle que la dangerosité de ces méthodes ne peut pas être mesurée dans des laboratoires, elle sera constatée lorsque l’application sera faite de manière globale sur la planète entière et ce sera trop tard. De surcroît, il n’est pas possible de réaliser ces expériences dans son propre pays sans impacter les pays voisins étant donné la nature même du climat ! Amener la pluie chez soi peut créer une sécheresse chez le voisin par exemple…





Pendant que des zozos de fact-checkers et autres agents de la Doxa payés par l’argent du contribuable continuent à nier la réalité de l’existence de cette manipulation du climat par la chimie du ciel.  Une lettre signée par 400 spécialistes du climat a été publiée sur Internet ayant pour but et titre : Nous appelons à un accord international de non-utilisation sur la géo-ingénierie solaire ! Difficile de faire plus clair. Donc, ceux qui sont pour la géoiingénierie réalisent actuellement un travail de lobbying important, d’autant qu’ils sont soutenus par des milliardaires comme Bill Gates, afin de continuer leurs recherches car ils ont besoin de financements. Nous avons encore une fois affaire à des apprentis sorciers dangereux qui démontrent encore une fois que l’enfer est pavé de bonnes intentions. Sauf que dans ce cas précis, l’arrogance de ces scientifiques est assez exceptionnelle et rarement atteinte dans l’histoire humaine car leur volonté de contrôler le climat d’une planète entière n’a d’égal que leur profonde bêtise !





La Commission européenne a appelé mercredi à des pourparlers internationaux sur les dangers et la gouvernance de la géo-ingénierie, affirmant que de telles interventions visant à modifier le climat présentaient des risques « inacceptables ».

La géo-ingénierie suscite un intérêt croissant, car les pays ne parviennent pas à réduire les émissions de gaz à effet de serre assez rapidement pour freiner le changement climatique. Mais la question de la manipulation des systèmes planétaires pour lutter contre le réchauffement climatique reste très controversée.

« Personne ne devrait mener des expériences seul avec notre planète commune », a déclaré Frans Timmermans, chef de la politique climatique de l’Union européenne, lors d’une conférence de presse.

« Cela devrait être discuté dans le bon forum, au plus haut niveau international », a-t-il dit, suggérant les Nations Unies comme un lieu potentiel pour des discussions sur les risques et l’utilisation possible de la géo-ingénierie.

Les techniques de géo-ingénierie consistent à éliminer directement les émissions de CO2 de l’atmosphère. Les premières usines à le faire sont déjà en fonctionnement, captant du CO2 en quantité infime par rapport aux émissions des pays.

Plus controversée est la modification du rayonnement solaire (SRM), qui réduirait la quantité de lumière solaire atteignant la surface de la Terre, par exemple en pulvérisant des aérosols de sulfate dans la stratosphère pour réfléchir plus de lumière dans l’espace.

Joanna Haigh, professeur émérite à l’Imperial College de Londres, a déclaré qu’en plus de présenter des dangers physiques, ces technologies risquaient de donner aux pollueurs une excuse pour ne pas s’attaquer à la cause profonde du changement climatique – les émissions de gaz à effet de serre produites par la combustion de combustibles fossiles -.

« La gouvernance de la géo-ingénierie sera extrêmement complexe, mais nécessaire pour réglementer toutes les futures technologies de géo-ingénierie susceptibles de faire baisser les températures moyennes mondiales », a-t-elle ajouté.

Dans un document explicatif, la Commission précise qu’en l’état actuel de son développement, les MRS « représentent un niveau de risque inacceptable pour l’homme et l’environnement ».

L’UE finance deux projets pour évaluer les techniques de géo-ingénierie, mais a déclaré qu’aucun ne développerait ni ne testerait le SRM.



Kate Abnett

Reuters

28 juin 2023