Stalingrad du COVID : Macron met un premier genou à terre !

98ACTIONS98

L »allocution prononcée hier par Emmanuel Macron à la télévision confirme le pronostic d’un Stalingrad du COVID que nous avons lancé cet été, après son coup de menton brutal sur le passe sanitaire. La France dispose désormais d’un Président paralysé par ses excès, qui a crispé et clivé de façon brutale, et qui est condamné à mal gouverner à coups de milliards distribués pour neutraliser la grogne qu’il a semée. Macron a mis hier un premier genou à terre. Et rien n’exclut que le deuxième ne ploie pas lui aussi dans les semaines à venir…

https://odysee.com/$/embed/Stalingrad2/7e6fb388e346872756ff63f74eb1ddf895d290b2?r=27i6QNsquYLEJj3pv8GimxcTTeDxh1gi

C’est le Stalingrad du COVID qui fait déjà sentir ses effets destructeurs dans la macronie…

4 mois après la terrible décision présidentielle de transformer le passe sanitaire en outil de crédit social à la chinoise, qui a urtiqué une part substantielle de l’opinion (même si les medias subventionnés ont organisé et respecté une méticuleuse loi du silence à propos de la contestation), le pouvoir exécutif a donné l’image d’une paralysie face aux échéances cruciales de la crise. Nous avons montré comment Macron semble n’avoir aucune vision sur le sauvetage du système français de protection sociale. Et le reste du discours a montré une étrange temporisation sur les sujets de vaccination, alors que beaucoup craignaient le transformation du passe sanitaire en passe vaccinal. 

Macron freine ses ambitions sur la vaccination

Concrètement, le Président s’est contenté d’invoquer une reprise des contaminations (dont nous avons montré la quasi-inexistence dans la vraie vie du pays) pour annoncer que les personnes de plus de 65 ans ne disposeraient de leur passe sanitaire qu’en acceptant une troisième dose. Pour le reste, Emmanuel Macron a annoncé qu’il restait 6 millions de personnes non-vaccinées, à qui il s’est adressé en leur demandant de faire preuve de sens des responsabilités. 

Foin, donc, des mesures expéditives, des menaces, des disqualifications sociales. Le Président semble chercher un apaisement, tout en consolidant l’instauration du passe sanitaire dont nous avons déjà expliqué les tenants et aboutissants industriels. C’est la stratégie de la fixation : on établit une forteresse, et on n’en bouge plus, ni pour avancer, ni pour reculer. 

Les résistants à la politique sanitaire peuvent donc se féliciter de cette victoire tactique, discrète mais significative, remportée sur la stratégie va-t-en guerre du président. Celle-ci est désormais neutralisée. Reste à obtenir des victoires plus décisives : retrait du passe sanitaire, abrogation de l’obligation vaccinale pour les soignants. 

Une peur des effets secondaires ?

Dans le même temps, les vices du dossier vaccinal ont fini par pointer le bout de leur nez. Le Pfizergate laisse craindre le recours de Pfizer à des méthodes frauduleuses pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché de ses produits. L’ANSM a déconseillé l’utilisation du vaccin Moderna chez les moins de 30 ans, compte tenu des complications cardiaques qu’il peut causer. 

Le nombre de complications cardiaques intervenues pourrait même rendre petit à petit le sujet explosif. Emmanuel Macron a-t-il reçu d’importantes informations sur les vices des vaccins, qui assombrissent ses perspectives de popularité dans les semaines à venir ? Il avait en tout cas la voix éteinte, le teint jaune, le visage fermé d’un homme qui porte des mauvaises nouvelles. Nous étions loin de l’énergie agressive de juillet. 

Macron sera-t-il vraiment candidat ?

Pour le reste, le Président a annoncé qu’il rédigeait de nouveaux chèques, notamment pour les jeunes, histoire de maintenir sa popularité. Il a expliqué que les conditions pour réformer les retraites n’étaient pas réunies, ce qui est un terrible aveu de sa fragilité. Et il a vanté son action mais sans donner le sentiment qu’il disposait d’un programme solide. 

Certains ont affirmé qu’il s’agissait d’un discours de candidat non-déclaré. On reste sceptique. Nous maintenons notre pronostic d’un Stalingrad en rase campagne et d’un scandale sanitaire qui se révèlera dévastateur le jour où le petit peuple des vaccinés comprendra que l’exécutif a mis la santé de la majorité des Français en danger pour faire plaisir aux laboratoires pharmaceutiques. Et nous croyons plausible, désormais, que, informé des risques inconsidérés qu’il a fait prendre à ses électeurs en les forçant à recevoir des injections toxiques, Macron s’attend à un revers sévère de nature à compromettre sa candidature. 

Une justice immanente sanctionnerait donc l’incompétence de cette caste mondialisée qui s’attribue généreusement le monopole de lumières qu’elle ne voit pourtant pas.