ÉDUCATION SEXUELLE, un courrier de rappel à la loi utile.

COURRIER
A l’attention de Madame, Monsieur le Directeur(trice) de l’établissement scolaire et l’ensemble de l’équipe pédagogique

Objet : Rappel légal

Avis aux directeurs, avis aux agents vaut avis aux directeurs et réciproquement, avis aux directeurs vaut avis aux agents ou également qu’avis aux commettants, vaut avis aux exécutants et vice-versa.

Monsieur le Directeur, Madame la Directrice, l’ensemble de l’équipe pédagogique,

Nous, associations, collectifs, parents, grands-parents et citoyens, dont le but est de défendre les libertés et les droits fondamentaux des enfants et des adolescents, venons vers vous afin de vous faire réaliser que l’Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle préconisée par l’Éducation Nationale via la circulaire n° 2018-111, selon les directives de l’OMS (cf. « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe »*), va à l’encontre des lois existantes pour la protection de l’enfance en portant atteinte à la moralité des mineurs, en portant atteinte à leur équilibre physique et psychique, qu’elle remet gravement en cause l’autorité parentale et qu’elle constitue un endoctrinement, qui en tant que tel, est interdit par la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

Le présent courrier expose de quelle manière l’Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle va à l’encontre de nombreuses lois et comment elle est une atteinte aux normes supérieures, à la dignité humaine et au caractère inviolable et sacré du corps humain.

1- L’Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle (E.V.A.R.S) va à l’encontre du Code Pénal :

Lors de séances d’E.V.A.R.S, de nombreux enfants ont été exposés à des images pornographiques, à des discours exaltant la sexualité et les différentes pratiques sexuelles,
la présentant comme un ensemble d’actes procurant du plaisir physique tout en y associant la notion de consentement. Ces élèves sont parfois contraints d’en parler à haute voix ou de participer à des ateliers « pratiques »… Des faits qui portent atteinte à leur pudeur, à leur raisonnement et au respect de leur développement psycho-émotionnel.
La loi française punit sévèrement les actes à caractère sexuel tels que la corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant.**

Plusieurs chefs d’accusation en droit interne pour les auteurs : corruption de mineur, atteinte à la moralité de mineur, complicité de violences, harcèlement sexuel, détention et diffusion d’images pornographiques.

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