Entièrement caccinés et non vaccinés — Partie 9

Robert F. Kennedy Jr. – 1 mai 2020

Il s’agit de mon neuvième volet dans la série d’études du CHD comparant les résultats de santé des populations vaccinées et non vaccinées. Malgré les efforts du CDC et du NIH (Tony Fauci) pour empêcher la création de ces études, des scientifiques universitaires et gouvernementaux courageux et indépendants ont trouvé des moyens de réaliser des études vaccinées/non vaccinées. Nous avons maintenant rassemblé près de 60 études, toutes publiées dans des volets précédents sur ma page Instagram et sur le site Web du CHD. Toutes ces études ont révélé que les cohortes vaccinées étaient bien plus malades que leurs pairs non vaccinés. Le CDC bloque l’accès des scientifiques indépendants à la plus grande base de données sur les vaccins, le Vaccine Safety Datalink, que le Congrès a créé expressément dans le but de réaliser ce type d’étude.

(Voir  les diapositives de la partie 9 en taille réelle  ou voir la présentation complète Vaxxed-Unvaxxed, parties 1 à 12. )

Diapositives et résumés de la partie 9 :

Diapositive 1 et résumé :

Le risque accru de narcolepsie après la vaccination avec le vaccin pandémique A/HlNl 2009 adjuvanté ASO3 indique une association causale, cohérente avec les résultats obtenus en Finlande.

Diapositive 2 et résumé :

En résumé, cette étude démontre que le vaccin trivalent contre la grippe (VTI) provoque une réponse inflammatoire mesurable pendant la grossesse et qu’une variabilité considérable est observée entre les femmes dans l’ampleur de cette réponse.

Diapositive 3 et résumé :

En plus d’une réaction inflammatoire, le vaccin contre la grippe A a induit une activation plaquettaire et un déséquilibre sympathovagal vers une prédominance adrénergique… L’activation plaquettaire et le dysfonctionnement autonome cardiaque liés au vaccin peuvent augmenter transitoirement le risque d’événements cardiovasculaires.

Diapositive 4 et résumé :

La vaccination des porcs avec un vaccin contre le virus H1N2 (de type humain) inactivé (WIV-H1N2) a entraîné une aggravation de la pneumonie et de la maladie après une infection par le virus pH1N1.

Diapositive 5 et résumé :

Lors de l’évaluation de l’efficacité du TIV pour prévenir l’hospitalisation due à la grippe chez tous les sujets, une tendance générale a été observée vers des taux d’hospitalisation plus élevés chez les sujets ayant reçu le TIV par rapport à ceux n’ayant pas reçu le TIV (OR : 2,97, IC : 1,3, 6,7).

Diapositive 6 et résumé :

Les événements cardiorespiratoires étaient associés marginalement à la réception d’injections multiples {OR, 3,62 ; IC à 95 % 0,99-13,25) et significativement au reflux gastro-œsophagien {RGO) {OR, 4,76 ; IC à 95 % 1,22-18,52).