Auteur : JCube – 23 octobre 2024
On nous a demandé de nous taire, de suivre les règles aveuglément, de ne pas remettre en question « les experts ». La presse, qui se veut le dernier bastion de la vérité, a fait écho à chaque mesure, chaque discours officiel, en tournant en ridicule ceux qui, dès le début, s’interrogeaient sur l’efficacité des vaccins, la validité des confinements, des masques, et même des distanciations sociales absurdes qui ordonnaient aux grands-parents de manger isolés dans la cuisine.
Aujourd’hui, ironie du sort, la presse commence à admettre ce que les « complotistes » avaient vu bien avant tout le monde. Mais plutôt que de reconnaître ses erreurs, elle préfère rire, tourner en dérision ses propres défaillances. Le manque de professionnalisme est flagrant. Aucune remise en question. Aucune autocritique. Au lieu de cela, on rit. On minimise. Et les « experts » des plateaux TV, ces faux prophètes de la science, continuent d’émettre des avis, comme si de rien n’était.
Les effets secondaires ignorés – un scandale monumental
Mais derrière ces rires se cache une réalité beaucoup plus sombre : les effets secondaires dévastateurs sur des millions de personnes, et en particulier sur les enfants. Des enfants qu’on a poussés à se faire vacciner avec des vaccins expérimentaux, alors que leur risque face au COVID était minime. Des femmes enceintes qu’on a poussées à se faire vacciner sans données suffisamment claires sur les conséquences. Les documents Pfizer, maintenant accessibles au public (450 000 pages de données !), révèlent des vérités accablantes : tout, de la gestion de la pandémie aux mesures imposées, reposait sur des bases branlantes, sinon carrément fausses.
Pfizer admet maintenant ce que beaucoup suspectaient : les tests ont été manipulés. Péricardites, myocardites, coagulations sanguines, embolies pulmonaires, maladies dégénératives… La liste des effets secondaires est longue, terrifiante même. Les agences de pharmacovigilance, quant à elles, n’ont rien trouvé de mieux que de retirer certains rapports de leurs sites officiels pour éviter de semer la panique. Plutôt que d’informer le public, elles ont préféré jouer la carte du silence, collaborant ainsi à une dissimulation à grande échelle.
Et pourtant, la presse, avec une nonchalance déconcertante, préfère balayer tout cela sous le tapis. Le vrai scandale, ce n’est pas seulement l’inefficacité des mesures COVID ; c’est l’indifférence criminelle face aux milliers de vies détruites par des effets secondaires graves, soigneusement dissimulés pour protéger les intérêts financiers de Big Pharma.
Où sont les excuses aux familles qui ont vu leurs enfants souffrir des effets secondaires ? Où sont les excuses à ceux qui ont été forcés de choisir entre leur travail et leur intégrité physique ? Aujourd’hui, face à l’évidence, elle continue de détourner le regard.
Les voix ignorées et censurées
Des milliers de témoignages et d’études ont pourtant mis en évidence l’ampleur de ce scandale sanitaire dès les premières phases de la campagne vaccinale. Mais à aucun moment, les scientifiques et médecins qui lançaient l’alerte n’ont été entendus. Systématiquement étiquetés « complotistes », beaucoup d’entre eux ont vu leur carrière brisée. Certains ont perdu leur emploi, d’autres ont été radiés de l’Ordre des médecins pour avoir osé remettre en question le discours officiel. Aucun plateau de télévision n’a eu le courage de les inviter, probablement par peur de perdre les précieuses subventions d’État ou d’offenser les intérêts financiers de leurs sponsors.
Les consignes étaient claires : il fallait répéter, encore et encore, que la vaccination était « sûre et efficace ». Peu importait que les preuves manquaient, que les doutes montaient, que les effets secondaires graves s’accumulaient. Pendant ce temps, des médecins et scientifiques en conflit d’intérêts flagrants avec Big Pharma défilaient tous les soirs sur les plateaux TV, dans un ballet orchestré par des cabinets de conseils privés comme McKinsey. Le discours était uniforme, répliqué à l’identique dans chaque pays, comme si le monde entier chantait en chœur une partition préparée à l’avance.
L’incompétence généralisée
Confinements, masques, distanciation sociale… Rien n’a fonctionné comme on nous l’avait promis. On a ordonné aux grands-parents de manger isolés, aux familles de ne pas se réunir, comme si ces mesures allaient éradiquer le virus. On a sacrifié la santé mentale de millions d’individus. On a bafoué les droits fondamentaux sous prétexte de sécurité. Et pour quel résultat ? Un échec total, que la presse admet maintenant en riant sous cape, comme s’il s’agissait d’une farce.
Un média complice
Mais la presse est plus qu’une simple spectatrice dans ce fiasco. Elle est complice. Complice de la désinformation. Complice de la diffusion d’une peur irrationnelle. Complice de l’exclusion des voix dissidentes qui, aujourd’hui, se trouvent être celles qui avaient raison. En refusant de donner la parole à ceux qui osaient poser des questions légitimes, en relayant docilement les directives d’experts en plateau TV, sans jamais remettre en cause leurs dires, elle a échoué dans son rôle fondamental : Informer objectivement.
Le monde devient fou : L’exclusion des Non-Vaccinés
Le monde est devenu fou. Tout le monde suspectait tout le monde. Les non-vaccinés, désignés coupables d’un crime imaginaire, ont été les boucs émissaires de cette hystérie collective. Ils ont été exclus, rejetés, traités comme des parias. Ces personnes, qui avaient simplement choisi de ne pas participer à une expérimentation vaccinale, se sont vues privées de leurs droits les plus élémentaires. Elles ont été coupées de leurs familles, de leurs amis, de la société elle-même. Elles n’oublieront jamais cette période, où le simple fait de ne pas se plier à la norme les a transformés en ennemis publics.
Un Scandale Orchestré
Derrière ce fiasco se cachent des ambitions sinistres. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Fondation Gates, sous couvert de philanthropie, poursuivent un agenda de surveillance mondiale. Leur but ? Contrôler chaque être humain sur cette planète, surveiller leurs faits et gestes, et, plus si nécessaire.
Et la presse, complice de cette gigantesque tromperie, n’a jamais joué son rôle. Plutôt que d’informer, elle a choisi d’être le porte-voix d’intérêts privés, relayant un discours prémâché, au mépris des faits. Le vrai scandale n’est pas seulement l’échec des mesures COVID, mais l’exclusion des voix dissidentes, la stigmatisation des non-vaccinés, et la diffusion d’une peur irrationnelle orchestrée au niveau mondial.
Le temps de la vérité
Le temps est venu pour la presse d’assumer sa responsabilité dans ce scandale sanitaire mondial. Ce ne sont pas quelques rires gênés ou des tentatives de minimisation qui effaceront l’incompétence dont elle a fait preuve. Les faits sont là, bruts, implacables : les « conspirationnistes » avaient raison, et ce que la presse qualifiait de « fake news » est aujourd’hui confirmé par des documents officiels.
Ne vous y trompez pas : la vérité finit toujours par éclater. Et aujourd’hui, c’est le mensonge qui éclabousse ceux qui se croyaient au-dessus de tout soupçon.