Réseau International – 1 octobre 2024
La bombe atomique n’existe pas : vous avez dit «La BOMBE» ou les bombes ? L’exemple Hiroshima-Nagazaki le démontre-il ?
L’uranium et le plutonium ne sont pas des explosifs
On nous a toujours dit qu’après une explosion nucléaire la vie serait impossible à des kms à la ronde pendant des siècles alors comment Hiroshima et Nagazaki ont pu être reconstruites et habitées seulement quelques années plus tard et sont des villes modernes ?
2 062 424 habitants vivent actuellement à Hiroshima, en 1950 soit 5 ans après la ville comptait déjà plus de 500 000 habitants, Nagazaki compte environ 400 000 habitants actuellement.
• https://worldpopulationreview.com/cities/japan/hiroshima
Avant/après. Découvrez la reconstruction d’Hiroshima et Nagasaki 70 ans après la bombe atomique
Larguée le 6 août 1945, la bombe d’Hiroshima a fait 140 000 morts. Trois jours plus tard, celle larguée à Nagasaki a tué au moins 40 000 personnes. Francetv info a juxtaposé des photos prises après les bombardements avec des clichés de 2015.
Connaissez-vous le miracle d’Hiroshima, le 6 août 1945 ?
Alors bombe nucléaire ou simulation avec d’autres moyens conventionnels de l’époque ? Encore une opération manipulation par les US pour asseoir leur domination du monde à la fin du conflit mondial 39/45 ?
Napalm + additif radioactif
1945 : mensonges des U.S.A. pour effrayer le reste du monde
Le canular atomique remis en questions
Pourquoi les bâtiments officiels en béton n’ont-ils pas été rasés comme les habitations traditionnelles en bois ?
Pourquoi ces bâtiments encore debout sont-ils, contre toute logique, disséminés aussi bien en périphérie qu’au centre ?
Pourquoi les ponts en acier n’ont-ils pas eux aussi été rasés comme les maisons d’habitations traditionnelles en bois ?
Pourquoi les voies de chemins de fer et de tramways échappèrent-elles presque complètement à la destruction ?
Pourquoi l’acier n’a-t-il pas fondu avec supposément 4000 à 6000 degrés au sol ?
Pourquoi les tramways 651 et 652 ont-ils pu recirculer trois jours après l’explosion ?
Pourquoi la Banque du Japon, à 380 mètres de l’hypocentre, a-t-elle pu refonctionner deux jours après l’explosion ?
Pourquoi n’y a-t-il pas un centre visible d’explosion, un cratère où toute matière serait vitrifiée ?
Pourquoi des quartiers entiers de Nagasaki sont-ils restés intacts ?
Pourquoi les bombes H, pourtant réputées plusieurs milliers de fois (excusez du peu !) plus puissantes que les bombes A de 1945, peuvent-elles exploser dans l’océan Pacifique sans produire aucun tsunami ?
Et surtout pourquoi, si les USA avaient vraiment été les seuls jusqu’en 1949 à détenir une arme absolue, n’en auraient-ils pas profité pour raser Moscou et toutes les grandes villes soviétiques ? (Puisque la guerre de 39-45 était une guerre du capitalisme contre le communisme et non une dispute au sujet de l’Alsace et de la Lorraine).
Hiroshima tout près du point zéro…
Le truc : 1 seule bombe au napalm + arrosage avec lances à napalm
Avec uranium ou plutonium en plus
Les villes en bois d’Hiroshima et Nagasaki ont été dévastées par un ouragan de feu (un phénomène météorologique encore très peu connu où des vents de 800 degrés soufflent à 240 km/h) causé par :
– les plus ÉNORMES bombes jamais construites, au napalm (nouveau en 1945) ;
– aspersion de napalm (+ uranium 235 ou plutonium 239 pour la mystification) par des LANCES montées sur les deux autres avions : The Great Artiste, et Necessary Evil (ou Big Stink arrivé en retard à Nagasaki).
Pas besoin de «fission de l’atome» pour ce stratagème, qui n’aurait pas fonctionné sur des villes en béton.
Par la suite les vidéos des prétendus essais nucléaires ont toutes été truquées…
À propos du retard de la «Grosse Puanteur» à Nagasaki
Officiellement ça serait parce qu’un scientifique n’aurait pas eu son parachute.
En réalité la cause ne pouvait être qu’une panne au niveau de la lance à napalm : ce qui explique aussi pourquoi la ville de Nagasaki n’a pas été incendiée à cent pour cent…
Mais vous avez bien sûr le droit de croire à la version officielle qui indique que des quartiers entiers de Nagasaki sont restés intacts à cause du relief !
La vidéo qui prouve que la bombe atomique n’est qu’un mythe
Dans ce film de propagande fait par le «War Department» on peut voir (à 1 :06) le POINT ZÉRO avec des bâtiments et des TRONCS D’ARBRES ENCORE DEBOUT juste à côté alors que le catéchisme atomique est catégorique : à ce niveau absolument TOUT ne peut être que dés-in-té-gré…
Les ponts sont «amazingly» intacts… car ils n’étaient pas en bois mais en acier ou en béton !
Le napalm inventé par l’américain Louis Frederick Fieser en 1942
Pour les bombes incendiaires ET LES LANCE-FLAMMES
«Sa texture de gel colle à la peau et brûle les tissus jusqu’à l’os sans qu’il soit possible de stopper sa combustion. Il est illusoire de vouloir refroidir les plaies avec de l’eau».
«Lorsqu’une bombe au napalm explose au sol, le phosphore s’enflamme en premier à haute température, en laissant une traînée blanche caractéristique, puis le napalm s’enflamme. Il en résulte une grande boule de feu qui progresse rapidement et qui atteint la taille d’un immeuble de plusieurs étages pour les plus grosses munitions incendiaires».
(C’était deux extraits de l’article de Wikipedia sur le napalm).
Utilisé la première fois le 26 juillet 1944
Contre les Japonais à Tinian (Îles Mariannes) juste avant l’invasion de l’île par les américains.
Utilisé ensuite en 1945
À Kobe contre les Japonais le 3 février.
À Dresde contre les Allemands du 13 au 15 février (avec environ 50% de bombes explosives classiques à cause des maisons en béton).
À Tokyo la nuit du 9 au 10 mars (100% de bombes au napalm car les maisons japonaises sont en bois : plus de 100 000 morts dans la tempête de feu).
Sur la photo ci-dessus de Tokyo prise après le bombardement au napalm, les rares édifices que l’on voit encore ont résisté parce qu’ils étaient en béton et non en bois.
On a exactement le même genre de photos avec Hiroshima et Nagasaki car ces deux villes ont elles aussi été bombardées (mais surtout ARROSÉES) au napalm avec toutefois de l’uranium ou du plutonium en additif pour qu’il y ait des radiations et ainsi faire croire à un nouveau type d’arme.
Ça a continué à partir de 1951
Utilisation par les Français en Indochine (et ensuite en Algérie) et par les Américains en Corée (et ensuite au Vietnam).
Avant le napalm
Essence, phosphore blanc et thermite pendant la Première Guerre Mondiale
Les Zeppelins et les bombes Goldschmidt des Allemands.
Le phosphore en 1943
Opération Gomorrhe : 2714 avions anglais et américains et 8650 tonnes de bombes larguées du 25 juillet au 3 août sur la ville allemande d’Hambourg ont créé un ouragan de feu soufflant jusqu’à 240 km/h.
Hiroshima et Nagasaki
Les champignons dits «atomiques»
Ces champignons existent aussi avec les bombes conventionnelles, c’est un phénomène normal pour toute explosion au sol d’une certaine puissance. On en voit plein sur YouTube.
Les bombes dites «atomiques» sont censées avoir explosé en altitude mais ça c’est la légende, car qui dit champignon dit explosion au sol.
Et puis, même en admettant qu’il puisse tout de même se produire un champignon car l’explosion aurait été relativement proche du sol, il aurait dû de toutes façons y avoir un cratère, justement parce que l’explosion aurait été relativement proche du sol.
La ruse
Pour impressionner le reste du monde mais surtout Staline, les Américains ont construit les deux plus énormes bombes incendiaires conventionnelles (napalm et phosphore blanc) qui puissent exister, avec ajout de matières radioactives pour accréditer le mythe de la nouvelle arme.
Ensuite, pour déclencher la tempête de feu, les deux autres avions ont fait pleuvoir le feu du ciel avec des LANCES À NAPALM : on ne va quand même pas croire qu’ils n’ont fait QUE prendre des photos et «recueillir des données scientifiques» !
La lance à napalm était le pinceau de feu de The Great Artiste, et pour Necessary Evil et Big Stink c’est pas la peine de vous faire un dessin…
Les photos qui mettent la puce à l’oreille
Sur les photos on pourrait s’attendre à voir au centre de l’explosion un gros cratère vitrifié et tout autour des débris qui rayonneraient dans toutes les directions, et aussi à voir à l’intérieur d’un certain périmètre tous les bâtiments rasés sans aucune exception.
Au lieu de ça on a des clichés exactement semblables à ceux de Tokyo, Osaka, Yokohama et toutes les autres villes japonaises, avec aucun centre d’explosion visible, et les bâtiments en béton armé toujours debout, comme le Dôme de Genbaku, la gare, et la banque (qui a même recommencé à fonctionner deux jours seulement après le bombardement !).
Vous remarquerez aussi que les ponts sont intacts…
Les bâtiments toujours debout ne sont même pas à la périphérie comme le voudrait la logique : ils sont disséminés partout, y compris au centre.
Pourquoi certains bâtiments ont-ils résisté ?
C’est parce que les bâtiments officiels étaient en BÉTON, contrairement aux maisons d’habitation qui étaient en BOIS.
Qu’est-ce que c’est donc que cette bombe atomique – enfin soi-disant atomique – qui n’est même pas capable de détruire les constructions en béton ?
Est-ce que vous vous rendez compte ? Ça veut dire que si on lâchait la bombe d’Hiroshima sur votre ville et bien TOUS LES BÂTIMENTS RESTERAIENT DEBOUT !
Photos (partie I, partie II et partie III) pour comparer entre les bombardements incendiaires et les bombardements prétendument atomiques, et enfin comprendre qu’Hiroshima n’est pas une ville plus «martyre» que la soixantaine d’autres villes japonaises qui ont ELLES AUSSI été rasées en 1945.
Le scepticisme d’un inspecteur s’étant rendu sur place
Le major Alexander Prokofieff de Seversky a déclaré que les effets des deux premières bombes atomiques ont été largement exagérés, et que si elles avaient été larguées sur New York ou Chicago, l’une de ces bombes n’aurait pas causé plus de dommages qu’un blockbuster de dix tonnes !
«J’avais entendu parler d’immeubles instantanément consumés par une chaleur sans précédent. Pourtant ici je voyais ces buildings structurellement intacts, et, qui plus est, à leur sommet se trouvaient des mâts de drapeaux intègres, des paratonnerres, des balustrades peintes, des panneaux de signalisation en cas de raids aériens et autres objets comparativement fragiles».
Son article complet dans le Reader’s Digest (février 1946, pages 121 à 126) : partie I et partie II.
Les Japonais pas impressionnés
Le 13 août 1945, le général Anami Korechika, le ministre japonais de la Guerre, a déclaré que les bombes atomiques n’étaient pas pires que les bombes incendiaires qui ravageaient le pays depuis des semaines.
Yoshio Nishina de l’institut RIKEN avait commencé les recherches sur la bombe atomique dès 1940… il y avait un réacteur nucléaire à Hŭngam en Corée du Nord et les Japonais savaient donc forcément que l’uranium n’est pas un explosif.
Et oui, la fission produit un flash bleu, de la chaleur et de la radioactivité mais aucune augmentation de volume !
Les Allemands avaient lancé l’Uranprojekt (Projet Uranium) en 1939 après que Otto Hahn et Fritz Strassman eurent réalisé la première fission nucléaire en 1938 : ils avaient eux aussi compris que les recherches ne pouvaient déboucher tout au plus que sur une bombe radiologique, certes très polluante mais bien incapable de raser une ville…
John Hersey témoigne malgré lui des lances à napalm
Extrait de l’article «Hiroshima» de John Hersey paru dans The New Yorker le 31 août 1946 :
«Et des gouttes d’eau de la taille d’une bille commencèrent à pleuvoir. C’étaient des gouttes d’humidité condensée qui tombaient du gigantesque champignon de fumée, de poussière et de fragments de fission qui s’élevait déjà plusieurs kilomètres au-dessus de Hiroshima. Les gouttes étaient trop grosses pour être normales. Quelqu’un se mit à crier : «Les Américains nous bombardent d’essence. Ils veulent nous brûler !» Mais c’étaient des gouttes d’eau évidemment, et pendant qu’elles tombaient le vent se mit à souffler de plus en plus fort, peut-être en raison du formidable appel d’air provoqué par la ville embrasée».
Commentaire personnel : pour que quelqu’un se mette à crier qu’on veut le brûler, ça devait quand même «évidemment» être plus des gouttes d’essence (en réalité de napalm) en feu que des gouttes d’eau…
L’article en français sur Mediapart.
Différence entre napalm et bombe dite «atomique»
Le résultat n’est-il pas le même ?
Pour pouvoir comparer il faudrait déjà que la bombe atomique existe réellement.
On ne peut faire croire à la bombe atomique qu’en arrosant au napalm des villes dont les maisons sont en bois, MAIS SI LES MAISONS SONT EN PIERRE OU EN BÉTON ÇA NE MARCHE PAS.
Il est même possible d’affirmer que la bombe au napalm est encore pire que la supposée bombe à l’uranium 235 ou au plutonium, dans le sens où malheureusement personne n’a avec le napalm la «chance» de pouvoir être désintégré sur le coup et donc de ne pas avoir à mourir dans des souffrances atroces…
Prendre du recul et relativiser
Avec la théorie de la bombe atomique on peut par exemple avoir peur qu’un pays comme la France soit rayé de la carte par une seule grosse bombe H, par contre avec le napalm ceci est IMPOSSIBLE.
C’est ça la bonne nouvelle…
L’ouragan de feu est un phénomène certes dévastateur (surtout sur des maisons japonaises en bois) mais aussi très localisé : ON NE PEUT PAS FAIRE «SAUTER LA PLANÈTE» AVEC DU NAPALM !
Heureuses conséquences
Ni gouvernement mondial ni fin du monde
Que les Citoyens du Monde – intelligents inutiles du Nouvel Ordre Mondial – cessent donc de nous casser les pieds avec leur gouvernement mondial démocratique (l’intention est certes belle, mais où pourrait aller se réfugier quelqu’un comme Edward Snowden dans un tel pays mondial «démocratique» ?), seule solution à leurs yeux pour empêcher une troisième guerre mondiale qui, atomique – et gna-gna-gna – signifierait la fin de l’humanité…
Il n’existe tout simplement pas de boutons sur lesquels appuyer pour «suicider» la planète !
Prenez de la distance et libérez-vous de l’hypnose collective
Le poison pollue votre conscience d’une façon très sournoise.
Croire aux bombes atomiques revient à inconsciemment s’habituer à l’idée pernicieuse qu’en cas de guerre il serait normal, logique, efficace, moderne quoi, d’exterminer au maximum les populations civiles.
Or cette idée est tout simplement MONSTRUEUSE.
Et j’espère bien que vous ne croyez pas qu’il est UTILE d’exterminer les CIVILS de New York, Los Angeles, etc…
Ça serait non seulement sadique, mais aussi complètement DÉBILE car militairement improductif !
Puissiez-vous vous délivrer de l’angoisse thermonucléaire !
N’ayons plus peur de la troisième guerre mondiale
Le plus intelligent – par exemple pour la Russie qui voudrait se défendre d’une attaque de l’OTAN – n’est évidemment pas de raser New York, Londres, Paris, Berlin et quantité d’autres villes.
Il y a bien plus radical, bien plus économique et bien plus moral pour mettre l’OTAN KO : couler les porte-avions, aveugler les satellites et détruire les bases militaires.
C’est tout, et en plus c’est parfaitement possible avec les missiles hypersoniques.
Allez, on va rajouter «éliminer la station HAARP» pour se faire plaisir.
Les missiles S-400 sont plus efficaces et dissuasifs qu’une bombe prétendument atomique avec disquette 8 pouces.
Les missiles Kalibr aussi.
Les centrales nucléaires
Ce sont des centrales à vapeur
La différence entre une centrale à charbon et une centrale nucléaire est que dans un cas on fait bouillir l’eau avec du charbon, et dans l’autre avec de l’uranium.
On peut bien évidemment se demander si la solution de l’uranium est la plus économique, la plus simple et la plus sûre (d’autant plus qu’il y a d’autres alternatives que le charbon pour faire bouillir de l’eau) mais ça c’est une autre histoire…
Électricité d’origine nucléaire
Quand j’étais petit je me suis fait induire en erreur par l’expression trompeuse «électricité d’origine nucléaire» : je pensais en toute logique que les neutrons des noyaux se disloquaient pour donner un proton et un électron, et qu’on arrivait à obtenir l’électricité en récupérant les électrons… pardonnez-moi, j’étais jeune et un peu naïf à l’époque.
Le danger en cas d’accident
Il provient des fuites radioactives, extrêmement nocives, qui se répandent dans l’environnement suite à un «emballement» où la chaleur devenue trop importante fait se briser les enceintes de confinement.
Il ne provient évidemment pas d’un «souffle dévastateur».
Les accidents de centrales nucléaires ressemblent plus à un éclatement de cocotte-minute qu’à l’idée qu’on peut se faire d’une explosion atomique où tout serait complètement RASÉ dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres…
Même quand on perd le contrôle et que le réacteur s’emballe et explose, on n’a pas une déflagration «nucléaire» qui désintègre la centrale !
Science
Le coin pour les grosses têtes
Théorie et RÉALITÉ
Pour vous forger une opinion sur cette affaire il vous faudra vous baser sur des faits concrets à la manière d’un enquêteur, et non sur des théories scientifiques à la manière d’un spécialiste…
Un exemple parmi d’autres : le fait qu’il n’y a pas de centre visible de l’explosion aura plus d’importance que toutes les théories – même si c’est très intimidant une THÉORIE assénée par un spécialiste qui par dessus le marché vous suggère que vous êtes un abruti – sur l’atome.
Einstein
Mais il n’est pas interdit de se renseigner sur la science.
En cherchant un peu vous allez découvrir que le «petit génie» est comme par hasard très controversé car il a plagié les travaux de, entre autres, Jules Henri Poincaré.
Einstein n’est pas l’auteur de l’équation E = mc2.
Max Born a déclaré à propos du travail de Einstein : «Le point qui choque est qu’il ne contient pas la moindre référence à la littérature antérieure».
Les médias ainsi que d’autres scientifiques étaient évidemment complices, probablement à cause de – dans le contexte de l’Allemagne nazie – l’honorable raison de promouvoir la cause d’un juif.
On veut bien être indulgents mais il ne faut malgré tout pas trop exagérer !
Relativisons la relativité
Et si la théorie de la relativité n’était pas si géniale que ça, et s’il n’y avait pas de vitesse limite, et si le temps n’avait aucune réalité concrète mais n’était seulement qu’un concept pour mesurer le mouvement ?
«Dieu ne joue pas aux dés» :
1°) Et si le hasard et la liberté avaient aussi leur place à côté de la loi de cause à effet, les causes et les effets s’enchaînant mécaniquement, mais de nouvelles causes pouvant à chaque instant être librement crées (et ensuite bien sûr assumées) ?
2°) Et si Dieu jouait à cache-cache avec le hasard, qui par définition est inconnaissable ?
L’ignorance au sujet des particules élémentaires
On nous assure que l’atome peut se décomposer, entre autres, en électrons négatifs et en protons positifs : ce qui serait aussi étrange que de pouvoir – en cassant un aimant en deux – obtenir un aimant exclusivement négatif et un autre aimant exclusivement positif.
En réalité on peut fractionner un aimant autant de fois qu’on peut, on obtiendra des aimants de plus en plus petits mais toujours bipolaires.
Quelle étrange idée que de penser que dans l’univers des particules puissent être exclusivement yin et d’autres exclusivement yang…
Pour en savoir plus sur cette conception peu encore connue de l’atome, même si je ne suis pas trop fan des auteurs du site vers lequel pointe le lien suivant (car ils se la jouent un peu «gourou») : Qu’est-ce vraiment qu’une particule atomique ?
Au lieu de rigoler
Relever donc le défi si vous en êtes capables
L’ingénieur suédois Anders Björkman explique pourquoi – scientifiquement – une bombe atomique ne pourra jamais exploser.
Et il offre UN MILLION D’EURO (1 000 000 €) à la première personne qui réussira à lui prouver le contraire !
Voici le lien : The Anders Björkman Challenge 4 (c’est dans la «langue de Mickey» mais vous pouvez contacter l’auteur en français car celui-ci vit dans les Alpes-Maritimes, et s’il y a des contestations juridiques le tribunal sera en France).
Histoire
Le contexte de l’époque
L’Église Orthodoxe
Il y a peut-être dans le christianisme orthodoxe quelque chose qui irrite ceux qui fantasment sur un empire mondial. Voici par exemple un extrait de Wikipedia qui explique pourquoi l’Église orthodoxe n’ajoute pas au credo le mot «filioque» : «3. cet ajout implique que Dieu ne peut sauver que des âmes chrétiennes, ce qui risque de légitimer des dérives telles que les conversions forcées ou l’Inquisition».
En tout cas «on» a financé et collé au russes le bolchevisme, faisant ainsi d’une pierre deux coups : étouffer l’église tout en salissant à tout jamais le communisme qui est pourtant un idéal, à l’origine, chrétien… pas mal l’astuce !
Staline et Mao
Il y a eu un grain de sable avec Staline, qui s’échappa du plan tracé pour lui en refusant la «Nouvelle Économie Politique», et qui a même été pendant la «Grande Guerre Patriotique» jusqu’à normaliser les relations avec l’Église Orthodoxe (qui a ensuite été de nouveau interdite sous Khrouchtchev… au fait c’est qui le véritable tyran ?).
En Chine Mao et sa Longue Marche n’étaient probablement pas prévus non plus…
Les faux culs attaquent
Les U.S.A. agressèrent donc l’U.R.S.S. et la Chine par Allemagne et Japon interposés, mais en étant officiellement contre leurs véritables alliés. Comme ça s’est mal déroulé ils ont pu ainsi se retourner contre leurs propres alliés pour sauver les meubles et se faire passer pour des vainqueurs.
Capitulation du Japon
Le Japon n’a pas capitulé à cause de la fumisterie atomique mais parce que le rouleau compresseur soviétique avait commencé à les laminer en Mandchourie et dans l’île de Sakhaline (pour en savoir plus : Ce n’est pas la bombe atomique qui a poussé le Japon à capituler).
Du point de vue japonais la supercherie leur permettait de sauver la face, du point de vue américain ce bluff leur permettait de devenir LA superpuissance mondiale.
Quatre ans sans équilibre de la terreur
Remarquez que jusqu’en 1949 on ne pouvait pas encore parler «d’équilibre de la terreur». Soyez donc sûrs que si la bombe atomique avait réellement existé les américains l’auraient utilisé plus que 2 fois car ils auraient eu 4 ans pour détruire Staline, ce qui après tout était le but initial de la deuxième guerre mondiale !
Et maintenant des bizarreries
Bluff de dissuasion massive : trop fort !
Il existe un petit pays qui – sans bidonner un seul essai ni une seule vidéo – a tout de même réussi à se forger la réputation très enviée de posséder la «vous savez quoi». Ce pays c’est… Israël ! !
C’est le nec le plus ultra en matière de bluff.
Et en plus ça marche.
L’Inde et le Pakistan
Ils ont eux aussi fini par avoir la fameuse bombe atomique mais n’ont curieusement toujours pas été admis comme membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies.
Il y en a qui «sentent le gaz» : même s’ils ont la «bombe» on fait comme s’ils ne l’avaient pas… c’est fou !
Je n’ose même pas évoquer la Corée du Nord…
Les chefs d’États sont-ils au courant de la supercherie ?
Ce n’est pas sûr !
D’ailleurs, quand le petit pays a voulu rayer Damas de la carte, il a dû être désagréablement surpris.
Par contre les services secrets savent forcément, mais à très haut niveau seulement.
Vladimir Poutine est certainement au courant, ce qui pourrait expliquer son audace.
La géopolitique est décidément fascinante !
Spiritualité
La démystification peut aller très loin…
Quand les gourous sont démasqués
Quand un spécialiste de la géostratégie nous raconte qu’en cas de guerre atomique il n’y aurait pas de gagnant car le monde entier serait «vitrifié», là on peut faire preuve d’indulgence et penser qu’après tout l’erreur est humaine.
Mais quand certains individus osant se présenter comme détenant un savoir d’origine surhumaine (soit parce qu’ils seraient contactés par une civilisation extraterrestre extrêmement supérieure aux nôtres, soit parce qu’ils seraient extralucides et auraient ainsi la capacité de lire dans les archives akashiques, soit pour n’importe quelles autres raisons) nous ressortent malgré tout les mêmes balivernes nucléaires, alors là… ÇA NE FAIT PAS TRÈS SÉRIEUX !
C’est un signe – infaillible – qui veut dire qu’on ne peut absolument PAS leur faire confiance.
Monsieur Djwhal Khul et les théosophes, vous êtes grillé).
Les Ummites aussi, vous êtes grillés !
Ainsi que l’amiral Byrd !
Et Alois Irlmaier !
Et tant d’autres…
N’est-ce pas, monsieur Alex et les «Galactiques» ?
Franlin Delano Roosevelt : «Rien en politique ne se produit par hasard. Si quelque chose arrive vous pouvez être certain que cela a été planifié ainsi».
Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de l’auteur.
envoyé par Gérard Le Maître