Dr Ana Mihalcea expose ses travaux sur les nanotechnologies auto-assemblantes et l’agenda transhumaniste
Essentiel News – 18 octobre 2024
Adoublage et sous-titrage par Jeanne Traduction.
Introduction: le contenu des vaccins, un sujet essentiel
Lorsqu’il s’agit d’aborder la vaccination, l’un des sujets les plus importants et paradoxalement les moins discutés est celui du contenu des vaccins. À en croire les diverses autorités sanitaires, “rien n’est autant contrôlé que les vaccins” et le mot rigueur est toujours répété dans un ton où se mêlent à la fois assurance et indignation face aux mécréants.
En réalité, c’est tout l’inverse. Pour avoir exploré sur ce sujet depuis plusieurs années, bien avant le Covid, il paraît évident qu’une enquête approfondie sur cette question devrait définitivement mettre fin au mythe de la vaccination “sûre et efficace”.
Que contiennent les fioles vaccinales? Comment et par qui sont-elles contrôlées? Et que peut-on inférer à partir des observations indépendantes? S’agit-il simplement de produits de mauvaise qualité, ou y a-t-il une volonté d’injecter des éléments censés avoir des effets spécifiques à l’insu des personnes qui les reçoivent?
Que l’on soit favorable ou opposé à la vaccination, tout le monde tombera d’accord sur le fait que l’on doit pouvoir se fier au contenu de ces fioles. Or, contrairement à ce que l’on imagine, il n’existe pratiquement aucun contrôle des vaccins. C’est le fabricant lui-même qui est censé effectuer ses propres tests pour fournir la documentation requise aux organismes de contrôle.
Or, ces tests sont minimalistes, et contrairement aux produits alimentaires, il n’y a jamais d’inspecteur qui vient prélever une fiole au hasard pour en analyser le contenu. Tous les ingrédients sont-ils déclarés? Le contenu correspond-il à ce qui est décrit sur la notice? En réalité, la seule chose que l’on sait, c’est que l’on ne sait pas vraiment ce qu’il y a dans une dose de vaccin.
Ces questions doivent être abordées, c’est pourquoi la rédaction d’Essentiel News consacrera différents articles au contenu et à la qualité des vaccins.
Les nanotechnologies dans les vaccins Covid, entretien entre Mary Holland et Dr Ana Mihalcea
La vidéo que nous avons fait traduire est un entretien mené par l’avocate Mary Holland – présidente de l’association Children’s Health Defense (CHD, défense de la santé des enfants) qui a été fondée par Robert Kennedy Jr – avec la Dr Ana Mihalcea, interniste, pathologiste et auteure d’articles sur le contenu des vaccins Covid.
Dès le début de la pandémie, l’association CHD a agi comme une plateforme internationale d’échange d’informations et de discussion sur tous les aspects de la crise sanitaire. Des réunions hebdomadaires informelles ont rassemblé des experts, des médecins, des avocats, journalistes et lanceurs d’alerte du monde entier. Leurs échanges ont parfois nourri d’intenses débats, parfois donné lieu à des conclusions unanimes.
Le tableau que dresse Dr Ana Mihalcea semble tout simplement inimaginable, mais ses arguments et ses données sont nombreux et reflètent le travail d’autres équipes. Il sera intéressant de présenter des contre-arguments par la suite, mais l’on se doit de se pencher sur ses observations, en particulier dans le contexte actuel d’accélération du transhumanisme.
Les images inédites
Durant la pandémie, plusieurs groupes de médecins et de scientifiques indépendants ont cherché à analyser le contenu des vaccins. Dr Mihalcea s’est jointe aux recherches et a pu observer par elle-même à l’aide de la microscopie sur fond noir ce qui semble aujourd’hui être interprété comme des nanotechnologies auto-assemblantes. Elle a alors complété ses recherches par l’analyse du sang où elle a détecté des anomalies telles que des formations en rouleaux et des caillots de composition anormale.
Préalablement à ces observations, Dr Ana Mihalcea a travaillé plus de 30 ans sur le phénomène des morgellons, souvent décrit comme le résultat d’expériences de biologie synthétique (il s’agit de filaments de type plastique qui sont excrétés par la peau).
Formation de nanocircuits
Selon la médecin et les dizaines de chercheurs impliqués dans ce sujet (notamment le Dr David Nixon), ce que l’on peut détecter dans les vaccins Covid s’apparente à des micropuces. Celles-ci sont constituées de minuscules particules magnétiques, émettent des flash lumineux (principalement bleus) et seraient capables de réagir à des signaux électromagnétiques.
Mihalcea affirme que ce type d’assemblage avec des nanomatériaux est présenté de manière parfaitement claire dans les projets concernant l’internet des Bio-Nano Things (objets, IoNT). Des matériaux tels que le graphène permettent actuellement de combiner les instruments provenant de la nanotechnologie et de la biologie synthétique pour réaliser l’intégration de dispositifs informatiques à l’intérieur du corps humain.
Selon Mihalcea, de tels dispositifs intracellulaires ont d’ailleurs été expérimentés par Pfizer dans un médicament nommé Enbrel. Des études à l’hôpital du Mont Sinaï ont permis de recueillir les données émises par ondes électromagnétiques générées par des capteurs insérés chez les patients.
Particules métalliques
La quasi totalité des groupes de recherche sur les vaccins Covid ont signalé une présence importante de particules métalliques. Leur présence intrigue d’autant plus que certains métaux sont assez rares.
Deux scientifiques de l’université de Comahue auraient détecté jusqu’à 55 éléments chimiques non déclarés dans la composition des vaccins. Il s’agit entre autres du groupe des lanthanides, des éléments dont les propriétés magnétiques sont particulièrement importantes.
(note: cette publication est critiquée pour son manque de rigueur scientifique)
Shedding – transmission aérienne
Ana Mihalcea a ensuite observé le sang des vaccinés et des non-vaccinés. Elle constate que des nanostructures sont aussi présentes dans le sang des non-vaccinés. Ceci s’expliquerait à la fois par le phénomène du shedding, une excrétion par la peau ou une dissémination par voie aérienne lors de contacts rapprochés.
Filaments synthétiques auto-répliquants
Les morgellons seraient le résultat d’opérations de géoingénierie menées depuis 30 ans, qui consistent à disperser un mélange de métaux (notamment du baryum) et de polymères. Ils ont été documentés depuis de nombreuses années, notamment par les travaux de Clifford Carnicum.
Ana Mihalcea et ses collègues ont identifié des signatures chimiques similaires entre les morgellons et les filaments d’apparence caoutchouteuse trouvés dans les caillots prélevés sur les corps des personnes décédées après avoir été vaccinées. L’on y retrouve des matières plastiques, notamment des polyamides et des polyvynils.
Ces matériaux seraient d’ailleurs mentionnés dans les brevets concernant les particules nanolipidiques utilisées dans le vaccin Moderna (brevet du 11 avril 2023).
“Dans certaines présentations, les nanoparticules décrites ici sont des particules furtives (stealth) à cible spécifique” similaires au brevet… Ces particules furtives peuvent comprendre une “matrice polymère” incluant des matériaux tels que polyamides, polyéthylènes, polyuréthane, polyesters, polyvynils, polyacrylates, etc. (la liste est longue).
Selon elle, les activités d’auto-assemblage et d’auto-réplication persistent après le décès des personnes, même deux ans plus tard.
Les nanorobots
Ces nanorobots qu’elle identifie comme des dispositifs à micropuce mésogènes (“Mesogen microchip devices”) sont équipés de senseurs/capteurs qui leur permettent de naviguer par biotélémétrie. Certains seraient capables d’envoyer des signaux que l’on peut capter avec certains types de téléphones portables vers un “cloud” (nuage) de données. Ces procédés et matériaux sont similaires à ce qui est actuellement utilisé dans les expériences de connection “ordinateur-cerveau” (ndlr: Neuralink et Cie).
Pour alimenter leur fonctionnement, ces nanorobots puisent l’énergie électrique des cellules humaines, ce qui a un effet destructeur sur l’organisme. Une fois assemblés, ils restent agglomérés de manière insoluble.
Stopper l’activité des nanoparticules, améliorer la santé des patients
En partant du brevet des nanoparticules lipidiques de Moderna qui mentionne aussi comment inhiber l’adduction des nanoparticules, Ana Mihalcea a testé l’utilisation d’agents antioxydants et d’agents chélateurs pour améliorer la condition de ses patients. Elle mentionne entre autres de bons résultats avec une combinaison de vitamine C à haute dose et un chélateur classique tel que l’EDTA (acide EthylèneDiamineTétraAcétique).
Elle affirme aussi avoir vérifié l’efficacité de cette combinaison sur un vaccin Pfizer, dont les nanoparticules ont été neutralisées en seulement 10 minutes.
La clé serait donc avant tout d’éliminer les métaux présents dans le corps.
Toute la biosphère est polluée
Pour le Dr Mihalcea, il ne s’agit pas seulement que du contenu des vaccins. Elle met aussi en garde contre d’autres produits, comme les anesthésiants dentaires et contre les opérations de géoingénierie qui consistent à larguer des nuages chargés de particules métalliques (chemtrails).
On l’aura compris, ce qui est décrit dans cette vidéo est la mise en oeuvre d’un plan transhumaniste, qui vise à transformer la population humaine et animale en un parc d’êtres de “technologie vivante” contrôlés par signaux électromagnétiques.
Commentaire :
Ces analyses évoquent les travaux sur les nanoparticules dans les vaccins pédiatriques effectués par Antonietta Gatti et Stefano Montanari. Si leur microscope n’avait pas décrit de ‘micropuces”, ou de particules auto-assemblantes, la présence importante de métaux, y compris de métaux rares avait beaucoup intrigué.
Ce couple de chercheurs, dont d’autres travaux avaient servi de référence au Parlement italien et à la Commission européenne, avait été victime de persécutions: perquisition, confiscation du matériel et des données, fermeture du laboratoire, menace sur la vie. Le pharmacien Serge Rader avait publié un ouvrage “vaccins, oui ou non” pour présenter leurs travaux en France et avait également subi un grand nombre de pressions.
Leurs travaux montraient a minima que les vaccins étaient “pollués” de nanoparticules métalliques capables de pénétrer à l’intérieur des cellules et de provoquer des troubles auto-immuns. En revanche, les images des vaccins Covid décrites ici semblent porter les choses bien plus loin. Des nanoparticules auto-assemblantes ne peuvent pas être le fruit d’une simple négligence, elles sont là par dessein et l’on peut en concevoir la nature.
Concernant les hypothèses d’une technologie transhumaniste, l’ on connaît aujourd’hui les déclarations des figures notoires de la gouvernance mondiale telles que Klaus Schwab ou Yuval Harari qui décrivent la fusion prochaine de l’homme entre le biologique, le technologique et le numérique. Et les projets d’interface humain-cerveau en sont à leurs premiers essais concluants.
Le fait que ce soit le marocain Moncef Slaoui (qui opérait chez GSK en Belgique) qui ait été recruté en tant que scientifique en chef de l’Opération Warp Speed est un signal d’alerte tout aussi important.
Slaoui est justement un spécialiste de la bioélectronique. En 2020, il était président de Galvani Bioelectronics, de Sutro Vax et de MédiciX investment, membre du conseil d’administration chez Artisan Biosciences, Human vaccines Project et Moderna therapeutics, en somme toute une série de Pharma impliquées dans le développement de technologies innovantes, en particulier liées à la bioélectronique.
Galvani Bioelectronics est un partenariat financé par Verily (anciennement Google), Life Sciences et GSK. L’entreprise a pour vocation de produire “des dispositifs miniaturisés et implantables capables de modifier les signaux électriques qui passent le long des nerfs dans le corps, y compris les impulsions irrégulières ou altérées qui se produisent dans de nombreuses maladies”.
Ces indices doivent aujourd’hui nous inciter à poursuivre l’enquête, car les enjeux liés à la vaccination semblent aller bien au-delà de la prétendue protection face à un coronavirus.
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