Le Vatican a récemment fait frapper une série de huit pièces dont une de 20 euros en argent réalisée par Chiara Principe. Si une première face présente les armoiries du pape François, l’autre « représente un médecin, une infirmière et un garçon prêt à recevoir l’injection du vaccin », les trois personnes étant masquées. On peut observer un crucifix « accroché en arrière-plan » laissant entendre qu’il s’agit d’un centre de vaccination chrétien. Cette association du Vatican à la politique vaccinale est particulièrement choquante à plusieurs égards.
Le Pape François est un fervent défenseur de la vaccination contre Covid, il l’a démontré à plusieurs reprises, notamment en étant le premier représentant d’Etat européen à instaurer le licenciement des employés non vaccinés, 15 jours avant l’Italie. Cet épisode aura marqué les esprits car on pouvait s’attendre à ce que ce type de mesure soit le fait d’une dictature, pas d’un état démocratique et encore moins du Vatican. Aux antipodes de la charité, cette mesure est contraire aux libertés individuelles et au sacro-saint libre arbitre de la doctrine chrétienne.
Une parodie de la sainte famille ?
Les vaccinés auront pu le constater, la vaccination ne se fait pas en présence de 2 personnels de santé. Cette caricature imprimée sur la pièce de 20 euros (annoncée sur le Courrier le 22 juin dernier) – homme, femme et enfant – renvoie sans détour à la Sainte famille. Une propagande destinée aux familles pour les inciter à faire vacciner leurs enfants. Marie et Joseph auraient-ils fait vacciner Jésus avec un produit expérimental et toxique dont l’innocuité reste à prouver ? Marie et Joseph auraient-ils pris le risque de faire mourir Jésus en le faisant vacciner ? Non et ils n’ont pas davantage pris le risque que Jésus soit assassiné par les soldats d’Hérode en ne prenant pas la fuite vers l’Egypte (Mat 2, 13-23). La question que l’on peut en revanche se poser est de savoir pourquoi l’Esprit Saint – Dieu qui accompagne lui-même le Pape dans sa mission – ne l’aurait pas averti du danger de la vaccination pour les enfants ?
La vaccination des enfants contre Covid : pouvait-on faire pire propagande ?
La réponse pourrait être simple : l’Esprit Saint intervient de manière surnaturelle lorsque l’information ou l’action n’est pas accessible/réalisable naturellement. Or, on ne peut pas dire que l’information (ou l’absence d’informations qui ne donne pas de garantie sur l’innocuité des vaccins) en ce qui concerne la vaccination des enfants et les risques encourus ne sont pas disponibles.
Préparer la vaccination (obligatoire) des enfants est un travail commencé par Pfizer dès le mois de janvier 2021 alors que le laboratoire débutait son essai clinique sur les moins de 11 ans en mars de la même année. La vaccination des enfants, n’avait aucunement lieu d’être – les études de 2021 montraient que les enfants étaient épargnés par l’épidémie – mais Pfizer déroulait son agenda pour vacciner les enfants sans justification scientifique. Les autorités sanitaires ont validé les résultats controversés de Pfizer (mauvaises pratiques de Pfizer en matière d’essai clinique) qui préconise une triple vaccination pour les enfants de 0 à 5 ans.
Le média The exposé, qui analyse régulièrement les données de pharmacovigilances issues du Royaume-Uni, a annoncé que les risques de décès – toutes causes confondues – augmentent de 5100% chez les enfants doublement vaccinés (recommandation nationale à fin 2021) par rapport aux non vaccinés. Les données issues de l’Office for National Statistics du 20 décembre 2021 font état d’une situation critique pour les enfants âgés de 10 à 14 ans.
Sur ce graphique, on constate que les enfants âgés de 10 à 14 ans qui ont reçu une injection du vaccin Covid-19, avaient un risque 10 fois plus élevé de mourir entre janvier et octobre 2021 que les non vaccinés. Pour les enfants ayant reçu deux doses, le risque de décéder est 51 fois plus élevé que pour les non vaccinés. Les détracteurs diront que le lien de cause à effet n’est pas démontré mais les taux de décès de 2020 au moment de la crise de Covid sont restés stables, ils ont même parfois diminué en raison des phases de confinement qui exposaient moins les jeunes aux risques de décès accidentels.
Les autorités britanniques sont sceptiques sur l’utilisation des vaccins contre Covid chez les jeunes dans leur analyse risque-bénéfice :
« Le Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI), un conseiller indépendant du gouvernement britannique sur le programme d’immunisation, a déterminé l’année dernière que les preuves disponibles indiquent que les bénéfices individuels pour la santé de la vaccination COVID-19 sont faibles chez les enfants âgés de 12 à 15 ans.
Ils ont également noté que tout bénéfice accordé par les injections n’est que “marginalement supérieur” aux autres dommages potentiels connus. Ils ont également reconnu qu’il existe “une incertitude considérable quant à l’ampleur des inconvénients potentiels”.
En raison de l’incertitude quant aux risques liés aux injections de Covid-19, le JCVI a estimé que les avantages étaient trop faibles pour justifier un avis sur un programme universel de vaccination d’enfants de 12 à 15 ans par ailleurs en bonne santé ».
En France, sans l’annoncer publiquement les autorités préparent la vaccination des enfants pour la rentrée scolaire 2022-2023 à commencer par la Haute Autorité de Santé.
Dans une vidéo, Le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste, prévient que les injections transgéniques recevront les autorisations de mise sur le marché conditionnelles au fur et à mesure qu’elles seront disponibles y compris pour les maladies infantiles : oreillons, rougeole… Ces injections finiront par remplacer les vaccins conventionnels : un bon moyen pour la France et d’autres pays de faire entrer ces produits dangereux dans la vaccination obligatoire des moins de 3 ans !
Le Vatican fait la promotion d’une stratégie douteuse qu’elle n’est jamais arrivé à justifier que par des formules laconiques ou reprenant les arguments de Big Pharma.
Le Vatican, siège de l’Eglise profonde
Le Vatican, siège de « l’Eglise profonde » et de la connivence avec les nouveaux maîtres du monde – se fait le VRP de l’industrie pharmaceutique.
Que le Vatican ait été pénétré par les forces contraires, c’est une évidence pour les catholiques, la démission de Benoit XVI en 2013 n’était qu’un épisode de cette guerre intérieure déclenchée par les Insiders (l’Eglise n’est pas épargnée, bien au contraire).
Mais qu’il participe à ce qui s’apparente à l’évidence à une nouvelle idéologie du mal est tout à fait inattendu. Dans Le Nouvel Ordre des Barbares, le Dr Richard Day avait déclaré les propos suivants sur la mise en place de l’agenda de la « caste » : « Une foule de gens semble avoir besoin de la religion […], alors ils auront une religion (on leur en donnera une). Mais les religions majeures d’aujourd’hui devront être changées parce qu’elles sont incompatibles avec les changements à venir. Les vieilles religions devront partir. Spécialement le christianisme. Aussitôt que l’Eglise catholique romaine sera à terre, le reste de la chrétienté suivra aisément […]. Alors suivent les paroles les plus surprenantes de toute la conférence lorsqu’il dit : certains vont croire que l’Eglise s’opposera à tout ceci, mais en réalité l’Eglise nous aidera ».
Ces propos sont purement déclaratifs et évoquent sans nul doute une programmation plutôt qu’une prophétie. Le Vatican n’est pas l’Eglise, il en fait partie. Les évêques, les prêtres et les laïcs ne partagent pas tous la même opinion sur les injections transgéniques et nul doute que l’inoculation des enfants divisera encore l’Eglise. Cela fait partie de la stratégie de ceux qui veulent la mettre à terre. Et quand ils penseront y être parvenus, elle sera relevée.