3 juillet 2022 20:46 Mis à jour: 4 juillet 2022 20:21 – Epoch Times
De nouveaux signaux inquiétants de pharmacovigilance du système VAERS concernant l’utilisation des vaccins Covid chez les femmes en âge de procréer ont incité un groupe de médecins à demander l’interdiction des vaccins de thérapie génique Covid‑19.
Au cours des deux dernières semaines, le Dr James Thorp, spécialisé dans la médecine materno‑fœtale, a exhaustivement analysé et vérifié les données les plus récentes du système VAERS (le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins) relatives aux vaccins Covid‑19 et les a comparées aux vaccins contre la grippe.
« Les vaccins Covid‑19, comparés aux vaccins antigrippaux, entraînent une augmentation des troubles menstruels, des fausses‑couches, des anomalies chromosomiques fœtales, de l’hygroma kystique fœtal, des malformations fœtales, des arrêts cardiaques fœtaux, arythmies cardiaques fœtales, troubles cardiaques fœtaux, anomalies de perfusion vasculaire fœtale, tests de surveillance fœtale anormaux, modèles de croissance fœtale anormaux, thrombose placentaire et mort fœtale », a déclaré le Dr Thorp à Epoch Times la semaine dernière.
Ses conclusions sont énumérées ci‑dessous :
‑ les saignements utérins anormaux (irrégularités menstruelles) sont 1000 fois plus fréquents ;
‑ les fausses‑couches sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies chromosomiques fœtales sont 100 fois plus fréquentes ;
‑ les malformations fœtales sont 50 fois plus fréquentes ;
‑ l’hygroma kystique fœtal (une malformation majeure) est 90 fois plus élevé ;
‑ les troubles cardiaques fœtaux sont 40 fois plus fréquents ;
‑ l’arythmie fœtale est 50 fois plus fréquente ;
‑ les arrêts cardiaques fœtaux sont 200 fois plus fréquents ;
‑ la perfusion vasculaire fœtale est 100 fois plus élevée ;
‑ les anomalies de croissance du fœtus sont 40 fois plus fréquentes ;
‑ les anomalies des tests de surveillance du fœtus sont 20 fois plus fréquentes ;
‑ la thrombose placentaire fœtale est 70 fois plus élevée.
Le Dr James Thorp affirme avoir vérifié son analyse auprès d’un consultant statistique du département de la Défense qui a accepté de l’aider sous couvert d’anonymat.
Absence de tests de sécurité
En ce qui concerne les données du VAERS, le Dr Robert Malone, spécialiste en vaccinologie et l’un des principaux contributeurs de la technologie ARNm, a déclaré jeudi à Epoch Times : « La stratégie risquée qui consiste à autoriser l’utilisation d’urgence des ‘vaccins’ à ARNm avant l’achèvement des tests non cliniques rigoureux sur les animaux pour les risques de reproduction et de génotoxicité, suivie de la préconisation d’une utilisation généralisée pendant la grossesse, semble maintenant avoir entraîné des effets toxiques importants, qui auraient pu être évités sur la reproduction. »
« Les données non cliniques antérieures (modèle animal) provenant de l’ensemble des informations relatives à l’autorisation d’utilisation d’urgence de Pfizer, ainsi que l’absence de données et de tests adéquats concernant l’innocuité pendant la grossesse ont entraîné des toxicités reproductives et fœtales qui auraient pu être évitées », a ajouté le Dr Malone.
Il a rappelé que les femmes enceintes devraient éviter les vaccins Covid « expérimentaux ». Leurs nourrissons aussi ne devraient pas être vaccinés contre le Covid.
« Ces nouvelles données et analyses du VAERS montrent que les mères en âge de procréer et leurs nourrissons ont subi des dommages en acceptant les vaccins génétiques non homologués, insuffisamment testés et autorisés en urgence », a déclaré le Dr Malone.
Au début de l’année, Jessica Rose, médecin, a co‑écrit une analyse du VAERS qui a été retirée d’une revue universitaire par la maison d’édition Elsevier.
Elle a déclaré à Epoch Times que l’analyse du Dr Thorp correspondait parfaitement à la sienne.
« Je pense qu’il est non seulement important, mais nécessaire, de cesser d’administrer ces produits aux femmes enceintes ou allaitantes et aux nourrissons, car il n’existe pas de données de sécurité à long terme. Les données à court terme sont mauvaises. C’est ce qui ressort des documents de sécurité présentés par Moderna et Pfizer au Comité consultatif sur les vaccins et produits biologiques connexes (VRBPAC) avant l’octroi de la licence pour les enfants de 0 à 4 ans. Ils ont tous deux révélé un risque terrible », a déclaré le Dr Rose.
Christiane Northrup, médecin, membre du Collège américain d’obstétrique et de gynécologie, soutient également cette analyse.
« Ayant été en première ligne lors du désastre causé par le DES (Diéthyl stilbesterol) en tant que jeune gynécologue‑obstétricienne, je suis stupéfaite que nous soyons en train de répéter le même type d’erreur, mais à un niveau bien plus dévastateur. Les injections doivent être arrêtées immédiatement chez toutes les femmes enceintes avant que de nouveaux dommages ne soient causés sur la prochaine génération », a déclaré le Dr Northrup à Epoch Times.
Le Dr James Thorp poursuit : « Tous ces effets indésirables sont statistiquement significatifs (valeur p< 0,0001) – en d’autres termes, la probabilité que ces effets indésirables se produisent par le seul effet du hasard est inférieure à 1 sur 10.000. Il incombait aux fabricants du vaccin Covid‑19, à la FDA, aux CDC, à l’American College of Obstetrics and Gynecology, à la Society for Maternal-Fetal Medicine, et à l’American Board of Obstetrics and Gynecology d’exiger ces données de sécurité avant de promouvoir ces dangereux ‘vaccins’ pendant la grossesse. »
« Ces institutions ont violé la règle d’or relative à la grossesse : les nouvelles substances, qu’il s’agisse de nutraceutiques, de médicaments ou de vaccins, ne sont JAMAIS autorisées pendant la grossesse avant que des données sur les résultats à long terme ne soient disponibles. Aujourd’hui, les vaccins Covid‑19 font passer les désastres obstétriques antérieurs du diéthyl stilbesterol (DES) et de la thalidomide pour des vitamines prénatales. Je demande une interdiction mondiale et un moratoire sur l’utilisation de toute thérapie génique expérimentale et/ou des ‘vaccins’ Covid‑19 pendant la grossesse jusqu’à ce que les données de sécurité à long terme soient irréfutables », a déclaré le Dr Thorp.
Selon medalerts.org, « le gouvernement américain recueille les rapports d’événements indésirables pour la santé qui suivent l’administration d’un vaccin » et peuvent être consultés publiquement dans la base de données VAERS.
Selon OpenVAERS, « VAERS est le système de signalement des effets indésirables causés par les vaccins mis en place en 1990. Il s’agit d’un système de déclaration volontaire dont on estime qu’il ne représente que 1% des accidents liés aux vaccins. »
La clause de non‑responsabilité officielle du VAERS précise toutefois : « Bien que très importants pour assurer la surveillance de la sécurité des vaccins, les rapports du VAERS ne peuvent pas être utilisés seuls pour déterminer si un vaccin a causé ou contribué à un événement indésirable ou une maladie. »