Les nanoréseaux injectés pourraient contenir des charges pathogènes libérées par ondes électromagnétiques

Le Courrier des Stratèges

  • 20 mai 2022

Ce qui n’était au départ qu’une hypothèse, mais une possibilité technologique tout à fait réaliste, comme nous l’avons démontré dans les précédents articles, est envisageable dans l’esprit d’une caste profondément malveillante et totalitaire. L’avocat et activiste Todd Callender rapporte dans une vidéo qu’avec les vaccins ont été inoculés des agents pathogènes chimériques qui n’ont pas encore été ouverts et qui seront libérés avec la 5G. Les annonces répétées d’une nouvelle épidémie plus dangereuse que Covid ressemblent fort à la préparation d’un événement programmé.

Dans le précédent article, nous avons exposé les possibilités biotechnologiques concernant la manipulation du cerveau humain et avons également évoqué l’aspect bactériologique des nanoréseaux injectés. Dans le dossier intitulé « COVID : de la faible efficacité des vaccins à leur toxicité », a été évoquée la possibilité d’un Covid vaccinal, c’est-à-dire d’un Covid induit par le vaccin lui-même. Les données épidémiologiques qui sont présentées de manière plus détaillées dans le dossier sur les effets post-vaccinaux montrent une corrélation entre la vaccination et certaines épidémies nationales de Covid.

Des pathogènes véhiculés par les nanotechnologies injectées

L’histoire a montré que l’utilisation de vaccins classiques (à virus atténué) pouvait déclencher de nouvelles épidémies. On ne vaccine normalement pas en phase endémique. Mais dans le cas du Covid, il ne s’agit pas de vaccins à virus atténué et le terme « vaccin » est d’ailleurs galvaudé. Qu’il s’agisse de sérums à ARNm ou à adénovirus, ils programment tous la production de la protéine spike par nos propres cellules, une protéine qui est elle-même pathogène et qui provoque des symptômes multiformes similaires à ceux du Covid.

D’autres maladies pourraient très bien être véhiculées par les sérums et les nanoréseaux injectés. Nous avons vu que les WBAN sont utilisés dans le traitement de certaines maladies pour délivrer à un moment choisi et dans une zone précise de notre organisme les molécules d’un traitement adapté – parce que transporté par le WBAN. Il est donc tout à fait possible technologiquement d’effectuer la même manœuvre avec des agents pathogènes qui auraient bien des effets délétères sur l’organisme.

Le dernier film documentaire de Pierre Barnérias sur Covid « Hold out », donne la parole à un pharmacien suisse qui a travaillé pour l’industrie pharmaceutique et qui observe les sérums à la microscopie. Les images sont édifiantes et il distingue la présence d’un champignon, ainsi que de formes géométriques ne pouvant être naturelles (nanotechnologies).

D’autres pathogènes sont également cités par l’avocat Todd Callender comme étant contenus dans le vaccin dans une vidéo disponible sur Odysée : « Dans ces injections que les gens ont déjà reçues ; dans les minuscules nanoparticules, l’hydrogel, il y a des pathogènes chimériques qui ne sont pas encore libérés, comme Escherichia coli, le virus Marburg, le virus Ebola, le staphylocoque et la levure de bière, entre autres » . L’avocat explique que lorsqu’ « est diffusé un signal de 18 gigahertz pendant une minute en trois phases différentes, comme une pulsion, les nanoparticules lipidiques gonflent et libèrent leurs contenus pathogènes pouvant provoquer une épidémie de maladie de Marburg ». Difficile de vérifier une telle affirmation même si la libération de molécules par voie d’ondes électromagnétiques est possible comme cela est actuellement le cas pour le traitement de certaines maladies grâce au WBAN ou nanoréseaux sans fil.

Les « vaccins Covid », une arme bactériologique ?

Le 8 mars dernier, nous avions évoqué la création en laboratoire du Sars-Cov 2 comme arme bactériologique à travers des financements qui étaient passés par le Dr Fauci, « monsieur Covid » aux Etats-Unis, et le Dr Peter Daszak, président de l’ONG EcoHealth Alliance impliquée dans ces financements. Nous citions Frank Ulrich Montgomery, président de l’Association médicale mondiale (AMM), société mondiale de médecins et proche de la caste qui affirmait : « Ma grande préoccupation est qu’il pourrait y avoir un variant qui soit aussi infectieux que Delta et aussi dangereux qu’Ebola ». Bille Gates ne cesse lui aussi d’annoncer le pire dans un futur proche ainsi que ceux qu’il finance, à commencer par l’OMS.

La variole du singe refait parler d’elle comme évoqué dans nos lignes et relance la crainte d’une nouvelle épidémie qui permet à la fois de maintenir la peur et donc le contrôle mais aussi d’évoquer la grande nécessité des vaccins. Un moyen de préparer les esprits à la prochaine épidémie et d’inciter l’opinion publique à suivre les instructions face à la prochaine crise qui serait donc déjà programmée dans les produits inoculés selon Todd Callender.

Dans la même vidéo, Jeffrey Prather, ancien officier des forces spéciales de renseignement de l’armée américaine, explique que « le vaccin est une arme biologique qui permet d’introduire le Covid dans l‘organisme et non de protéger les personnes, les doses de rappel renforcent le système d’exploitation (cf. ARNm OS évoqué dans un précédent article et breveté par Moderna) avec l’hydroxyde de graphène à travers des transmetteurs 5G et des armes à énergie dirigée ». Vérité ou délire complotiste ? En attendant, les vaccinés sont confrontés à une augmentation drastique de pathologies multiformes.